Le Chat de la mère Michelius [Parménion]

Ordre de jeu : PNJ 1 + Parménion
Durée de la quête : Non définis


La mere Michelius a perdue son chat, un magnifique petit Persian de couleur noir aux pattes blanches, il réponds au doux nom de Galiée, la dernière fois qu'il a été aperçue, il était dans les rues adjaçant le domicile de la mère Michelius, mais il suivait une bande de chat célérats, prêt à tout pour voler le possonier du coin...

La vieille dame à peur pour son chat, elle ne veut pas le voir devenir un truand vagabondant dans les rues, il est de votre devoir de le trouver...

Avant votre départ, elle vous a signaler ses diveres informations, elle vous a également donné des indications sur son caractère, c'est un chat vif et sournois doublé d'un apétit féroce, faites trés attention il attaque facilement, même si il est doux comme un agneau avec sa maitresse.
Avant de partir elle vous a laissé ces quelques mots :

"Retrouvez-le je vous en prie, c'est tout ce qu'il me reste..."

Vous voilà désormais seul dans les rues Romaines en plein carrefour... A droite se trouve l'etroite ruelle dans lequel le chat a été vue pour la dernière fois, à gauche, une autre ruelle dans laquelle vous parvient des légers grincement... En face de vous se trouve la rue principale de la ville avec ses marchands et une foule de gens, peut-etre que quelqu'un aura vue Galiée...

Me voila à Rome, capitale de l’Empire romain. Je viens d’y arriver, et je ne connais donc personne.
J’étais tranquillement en train de balayer les travées du cirque Maximus, lorsqu’une vieille femme m’aborda, et me supplia de partir à la recherche de son petit Galiée, son petit chat.
Elle semblait au bord de la crise de nerfs de le savoir avec des « voyous », des chats scélérats.
Naturellement, j’acceptais de l’aider, et sitôt mon travail terminé, je me lançai à sa poursuite.

Soit je commençai ma recherche par la ruelle où sa fuite a commencé, soit je choisissais une ruelle au hasard à condition d’y entendre quelques bruits ; soit j’optais pour la solution de me rendre dans la rue principale, et ainsi demander aux gens si par hasard ils n’auraient pas vu un petit chat Persian...
Mon choix se porta sur la grande rue. En effet, la Mère Michelius m’a confié que son Galiée était très très gourmand. Il est donc probable qu’un marchand l’ait vu roder autour de son étalage...

Vous voilà dans cette grande rue, panneau publicitaire en tout genre, vendeur à la sauvette de partout, et une foule qui ne désemplit pas, ainsi été votre choix de route...

Autour de vous un tas d'individus, l'un d'eux viens vous voir, il ouvre devant vous une besace remplit d'objet en tout genre et vous propose tout ceci à prix trés onéreux, à tel point que dans la logique vous émetrez un doute quant à sa qualité... Ce dernier vous propose selon ses dire, une hache de fer à moins de 100 stateres, mais comment être sûre de la qualité, il refuse de la sortir du sac...

Autour de vous, se trouve plusieurs personnes, une vieille femme grassouillette qui garde deux enfants, peut-etre à t-elle vue le chat, ses enfants ont peut-etre joué avec ?

Sur votre gauche se trouve un vieil homme, octogénere visiblement, sa barbe n'as d'égal en taille que sa canne qui lui permet de tenir encore debout en dépit de son age trés avancés... Il pourrait vous aider...

Sur votre droite se trouve un groupe d'homme, dont un qui vous fixe et vous regarde, le visage froid, glacial, le nez crépu et un corps crépu...

C’était l’effervescence sur la grande rue ; De partout, des voix me parvenaient, qu’elles soient agressives, aguicheuses...
Plusieurs fois, je tentai d’obtenir quelques informations à propos de ma cible, mais les gens me jetaient un regard dédaigneux, en voyant mon insigne de balayeur...Ah, ce n’est pas en Macédoine qu’un balayeur aurait reçu un tel traitement !!

Soudain, je vis quelqu’un se jeter sur moi, et me proposer une hache de fer, pour un prix dérisoire selon lui : 100 stateres ! Je ne pouvais me permettre de dépenser tout de suite mon maigre pécule, alors je refusais l’offre du vendeur, sans oublier de préciser que je repasserai le voir plus tard ; C’est toujours bon de se faire des alliés

Je ne savais pas vers qui me tourner, car j’avais trop peur d’essuyer un nouveau refus...
Lorsque je vis un vieillard, qui s’appuyait sur une longue canne, je me dis que j’avais trouvé la bonne personne. En effet, les vieillards d’une ville forment souvent une espèce de réseau d’informations. Si lui ne pouvait pas m’aider, peut-être qu’un autre vieillard de la ville qu’il connaîtrait le pourrait, lui.

Je m’approche de lui, et lui dis :
« Je te salue, O vénérable vieillard (ce n’est pas péjoratif, il me semble qu’on s’adresse aux personnes âgées de cette manière, dans les récits de la mythologie !). Qu’Asclépios veille sur toi. Auriez-vous vu, ou entendu parler, d’un petit chat qui se serait enfui ce matin ? C’est un magnifique petit Persian, au pelage noir et aux pattes blanches. Il s’appelle Galiée...»

Le vieillard posa son regard sur vous, et sur un ton sobre, hautin et réfléchis, vous tin ces quelques mots...

"Ô jeune homme... J'ai bien peur de ne pouvoir vous aidez..."

Sa voix vieille et haletante, laissé place à celle d'un jeune homme planqué dérriere un carton à quelques pas de las

"M'sieur, M'sieur, j'ai vu le chat !"

Le jeune garçon à peine agé de 6-7 ans sorti de dérrières les divers cartons et bordels en tout genre et se met à votre hauteur...

"Si vous me donnez 3 Stateres, je vous dit vers ou il est parti !"

Le regard sûre et la voix enjoué, ce petit garnement monnaie ses connaissances, que faire Parménion, la violence sur un enfant ? A moins que votre bonté soit grande et que dépensé des sous de votre propre bourse soit pour vous une solution idéale...

Quête terminée !
Parménion n'as pas le temps en ce moment de venir sur le forum.