Le Marteau de Protacle [Nabot]

Ordre de jeu : Tour à tour : PNJ 1 + Nabot
Temps de la quête : Non définis

Protacle vous a convoqués, vous êtes l'heureux élu investi par cette nouvelle mission... Vous devez traverser les mers et vous rendre sur l'ile de Crête, là-bas vous devrez défiez une bande de pillards pour récupéré l'alliage qui permet la création du Marteau...

Vous voilà face à Protacle qui vous informe de votre mission, il ne vous donne aucun objet..
Il vous dit seulement ses quelques mots

"Filez au port d'Athènes et prenez un de ces navires marchand, vous ramerez pendant quelques heures pour arrivé enfin sur cette île et ramenez moi ce butin"

Protacle vous sert la main et vous souhaite bonne chance... Vous voilà désormais seul dans la ville d'Athènes, face à votre première mission.

Vous avez plusieurs choix qui s'offre à vous, devant vous se trouve le port, aprés quelques rues, des rues publiques et sans embuches qui vous permettront d'aller sans encombre et sans réels danger de mannière rapide au port... Mais à votre droite se trouve un chemin, plus étroits, plus sombre, vous ne savez pas ce qui s'y trouve... Un panneau indiquant "Le Port Maritime" se trouve accroché à l'entrée de ce chemin...

J'avais quitté ma Perse natale, enfin du plus loin que je puisse m'en souvenir, ce qui n'est pas un gage de véracité !

J'étais en Grèce, dans un endroit tranquille car les gens n'aiment pas trop les géants, ils en ont peur car ils ne voient en eux que des brutes sans cervelle, ce qui n'est pas (plus !) mon cas. Un messager était venu me trouver car quelqu'un avait besoin d'un homme fort, et cela s'était répandu dans la région qu'un géant était dans les parages.
J'ai donc suivi cette homme, en évitant de l'écraser quand même, pour me retrouver dans Athènes. Athènes ! Reine du monde hellénistique, ville de ma protectrice Athéna. J'étais charmé et honoré de voir cette ville légendaire pour la première fois !

Puis je me retrouva devant Portacle, qui m'informa de ma mission et me serra le doigt pour me souhaiter bonne chance. Je me retrouvais dehors avec 2 chemins. Je suivais celui marqué "Le Port Maritime" mais au bout de quelques mètres le chemin devenait presque trop petit pour moi. Je rebroussais chemin de peur d'être coincé entre 2 maisons et de faire des dégâts. J'ai trop de respect pour ma déesse pour faire un quelconque dégât à SA ville !

Je prie donc la grande rue et me retrouva assez vite au port. Il me restait à trouver un bâteau et un équipage.

Le chemin trop étroit pour votre coeur grand et gras, vous voilà précipité dans la grande rue, bon nombre de marchant accompagnait votre marche, certains regardant avec éffroie cet homme de si grande taille déambulé devant eux... Vous avez écrasez au passage deux pommes, mais le marchand trop appeuré ne vous demande même pas de lui rembourser et vous voilà sur le port...

Se présente désormais à vous plusieurs solutions... En face de vous se trouve un bateau abandonné, sans marins sans rien, vous pouvez navigué seul, mais le prendre serait commetre un crime et vous serez probablement pourchasser par les gardiens de la cités Grecs... Sur votre droite se trouve un groupe de marins assis prés d'un bateau plus gros, mais au vue de leur visage, nul doute qu'une compensation financière sera demandé pour leur service...

Plus loins vous remarquer d'autres marins, mais eux plus sombre, moins décontractés, ils sont vraiment étrange, mystérieu, leurs airs hautins et leur sourir stréssé montre qu'ils préparent un mauvais coups c'est une certitude...

Quelle merveille que ce port ! Mais l'eau, c'est pas trop pour moi, les navires étant souvent de frêles vaisseaux pour ma corpulence.

Je voyais un navire abandonné, mais je n'allais pas le prendre. D'une part, il appartenait à quelqu'un, c'est donc du vol, et d'autre part, dans quel état est-il ? Une question à laquelle je ne voulais pas découvrir une réponse négative !

Au loin, un superbe bâteau, mais la consigne devant me disait qu'il fallait payer pour y monter, et ma bourse n'est pas vraiment pleine !

Puis un bâteau avec des gars présentant des faces patibulaires, de parfaits brigands à première vue. Je voulais leur jouer un bon tour car si j'ai de la force, j'ai aussi de la jugeotte et de la suite dans les idées, au contraire des autres géants.

Je m'avançais vers eux avec mon plus bel air de l'idiot du village:
Bonjour messieurs ! J'a voudrais aller en Crète, c'est possible ?
Mais bien sûr mon gros, allez monte, on y va, on n'attendait plus que toi !
Merci Monsieur !!!!!

Nous sortions vite du port, leur bâteau était rapide. Seulement à la sortie du port, nous ne piquions pas vers le sud et la Crète, mais vers l'est et la Perse.

Monsieur, on va pas vers le sud là, moi je veux aller en Crète pas ailleurs ! dis-je encore avec mon air de benêt accompli.
Ta gueule le gros et reste sage, sinon on va te faire mal. Tu croyais quoi ? Un gars comme toi, on peut te vendre facile 5.000 statères comme esclave en Perse, alors on va passer à côté de cette occasion !

Je me doutais que le gars était louche. Alors je lui fis ma spécialité, une grosse baffe et il s'écrasa direct sur le sol, évanouie ! Je m'approchais du barreur:
Tu vas vers le sud sinon tu t'en prends une aussi ! et je me retournais vers le reste de l'équipage: Et pour ceux qui sont pas contents, c'est le même tarif, c'est clair !?

Vous voilà, voguant sur les flots de la proche Grece, voyant peu à peu les terres Athéniennes s'éloignés alors que doucement vous vogués vers le Sud et l'ile de Crête... Les marins apréciaient peu vos mannières et ceux qui n'étaient pas sur le point à dirigé le navire se rendait une réunion secrête dans les calles impossible d'accés pour vous, vue votre taille trop imposante.

Quelques minutes passèrent, c'est alors que le bareur, un homme vieu et aigris, aux cheveux grisonnants et à la barbe grasse et brouillone vous narra les exploits en terre Crête des divers dieu et autres héros, il vous conta également les mythes et les légendes se rapportant à l'ile... Mais rapidement une voile noir apparue au loin...

Le marin placé en hauteur avec la longue vue remarqua aussitôt ce navire énnemi et signala à tout le monde de sa voix percante et forte l'approche d'un vaisseau énnemi... Les marins s'égitaient autour de vous, alors qu'au loin on persevait doucement les voiles d'un navire Egyptien se déssiné... Que veulent-il ? Pourriez-vous, vous en faire des alliés ? Veulent-ils eux aussi vous vendre ? Tant de question sans réponse, mais alors que leur immense voile noir se rapproche, vous devez vous préparez pour un probable combat inévitable...

Les marins n'avaient pas appréciés que je m'impose comme ça, mais ils m'avaient sous-estimés, surtout mon intelligence en fait !
Une partie disparue d'ailleurs dans les cales. C'est malin, car vas faire rentrer un géant là-dedans !

Heureusement, le barreur était un merveilleux raconteur d'histoire. Il faut toujours écouter les vénérables ancêtres, on me l'a toujours enseigné. De plus, j'ai toujours aimé entendre les histoires dans mon enfance, c'est toujours très plaisant.

Seulement, les problèmes refirent surface. La vigie signala un navire ennemi droit devant. Les marins remontèrent vite de la cale pour juger sur pièce. Même si nous avons un navire assez rapide, nous ne pouvons éviter celui qui arrive sous peine d'éveiller les soupçons.

Ami ou ennemi ? Je n'en sais rien, mais une décision doit être prise avant que nous soyons à porter de leurs flèches ! Terribles archers égyptiens, la terreur des archers !

Je m'adressais à l'équipage:
Bon, il est possible que nous ayons à nous battre. Dès qu'il s'agit de foutre des baffes à quelques drôles, je suis le premier dans l'arène ! J'ai pas envie de perdre face à des chiens d'égyptiens, c'est une question de principe...
J'ai une technique particulière si ça vous intéresse. Etant donné mon poids, je peux facilement coulé leur navire s'ils nous abordent. Vous en pensez quoi ?

Les marins restèrent perplexes et se concertaient pendant que les égyptiens se rapprochaient !

Le navire egyptien allait bel et bien aborder votre embarcation. Le navire était imposant, bardé de rames sur les côtés, un pieu gigantesque sur la proue et des grands yeux peint à l'avant de la carcasse. Vous pouvez voir s'agglutiner une horde de pirates prêt à envahir votre frêle vaisseau.

Mais à votre vue, leur ardeur semble redescendre et vous les voyez s'agiter. Soudain, d'enormes harpons commencent à être envoyés vers votre direction! Le bois craque sous l'impact et voilà votre bateau prêt à être abordé!
Les pirates se jettent sur votre bateau assoiffés de sang et de trésors!

Que faites vous?
-Vous rentrez dans le tas et tentez de repousser les pirates
-Vous tentez plutôt de retirer les harpons pour dégager votre bateau
-Pourquoi rester avec des gens qui sont promis à être prisonniers, vous sautez vers l'autre bateau
-L'eau semble bonne, vaut mieux y plonger et quitter ce monde de violence

La concertation n'allait pas durer longtemps car j'avais un oeil (enfin 2, mais bon !) sur les égyptiens. Ces derniers semblaient se réunir et parler avec leurs chefs après m'avoir vu. Un géant, ça fait des dégâts, alors il faut faire attention.

Cependant, le navire se rapproche, un navire de guerre, peut-être volé, mais qui ne nous laissera aucune chance, c'est garanti. Ils lancèrent leurs harpons d'abordage, replièrent leurs rames sur le côté qui allait nous toucher, puis le navire arriva à notre hauteur.

Dès que la proue arriva à ma hauteur, je lanca un tonitruant A l'abordage !
J'entendis alors les égyptiens dire "Hey ! Mais c'est nous qui abordons, pas vous !"
Je saute sur la proue, le navire fait un bruit horrible mais semble résister à l'épreuve dite du "gros lard".

Un gars arrive sur moi avec un gros pilum. *Etrange arme pour un égyptien, certainement un mercenaire romain* pensais-je. Il essaya de me l'enfoncer dans le ventre, mais avant même d'avoir pu ajuster son geste, je l'attrapais par la taille, puis réajusta ma prise au niveau des jambes.

Une vingtaine de pirates avaient sautés dans l'autre navire et semblait gagner la bataille. J'avais devant moi une dizaine de pirates qui hésitaient à avancer. Je prie l'initiative:
Soit on est sympa avec moi et on me conduit en Crète, et tout se passera bien; soit on n'est pas sympa avec moi et je vous indique alors que j'ai une belle arme en ma possession, en la personne de votre camarade, pour vous écraser tous !

Le capitaine arrivait, nous allions savoir si mon discours avait été persuasif ou pas !

Votre charge sur le bateau adversaire tel un Obelix des meilleurs heures(héros légendaire barbare) a complètement déstabilisé les assaillants. Ils ne resistent pas à votre force, mais aussi fort que vous êtes, vous n'êtes pas invincible. Si ils se regroupent et vous encerclent, vous êtes fini.

Heureusement pour vous, des pirates egyptiens ne sont pas des légions romaine. La tactique n'est pas leur fort, et leur moral est déjà bien touché.

Quand le capitaine arrive et vous harangue:
-Géant, je peste contre votre race retardée! Je voulais le garder pour les grandes occasions, mais tu me forces la main! Relachez Icham!

Et des cales sort un être enchainé d'une taille gigantesque pour un humain, normale pour vous. Se dresse devant vous un cyclope, soit élevé depuis sa naissance comme un esclave, soit capturé et devenu esclave par la suite.

Quoiqu'il en soit, il se dresse devant vous, la bave aux lêvres...les pirates relachent alors les chaînes.
Que faites vous?
-Ben quand il faut y aller, faut y aller, grand ou petit, ils méritent tous des baffes
-C'est pas parce qu'on est des géants qu'on peut pas discuter, pourquoi ne pas essayer de se connaitre?
-En fin de compte, ce bateau n'est pas si acceuillant, autant le quitter et revenir vers l'ancien
-En fait, vous avez une autre idée

Le capitaine n'avait pas été compréhensif et ne semblait comprendre que la violence. C'est contrariant les gens raisonnables qui ne le sont que quand on leur a mis une grosse baffe !

Un cyclope, genre bête de guerre, aussi bête que naguère d'aiileurs , me fit face. Un adversaire à ma hauteur, cela faisait une éternité que je n'en ai pas eu, en fait en avais-je déjà eu ?

Bref, le combat semblait inéluctable quand des restes de mon dernier repas (des choux !) vinrent me déranger. Je fis un gros pet et se fut le début des hostilités !

Devant ce défis, le cyclope essaya de larguer des perles afin de rivaliser avec les miennes. Les choux font un effet dévastateur sur mes intestins, mais cela allait-il suffir ?

La déflagration de vos émanations gazeuses eu pout effet de créer un tsunami sur les côtes à plusieurs km de cela. Les poissons remontaient par centaines à la surface, le ventre à l'air, mort sur le coup par ce nuage gazeux. Les pirates vomissaient à tour de rôle devant cet orage nauséabond, certains de vos compagnons marins ont préféré sauter à la mer pour mettre un terme à leurs souffrances inhumaines. Vous même sentez vos coeur se remonter face à ce déclenchement cataclysmique de vent mortel.

Mais le cyclope...le cyclope tomba à la renverse telle une planche et perça le fond du bateau pirate qui se mit à couler à une vitesse équivalente à celle qu'il vous faut pour vider une ville de taille moyenne de la moindre goutte d'alcool.
-Un...un démon des enfers! C'est un démon des enfers! dit le capitaine des pirates avant de se jeter à la mer.

Vous vous tenez fièrement, seul sur le bateau pirate qui commence à couler, lorsque vous voyez que vos "compagnons", commencent à prendre la poudre d'escampette! En effet, ils ont profité de votre attaque sur le bateau pirate pour se défaire des pieux!!

Que faites vous?
-Les saligauds vont le sentir passer: vous tentez de les rattraper par tout les moyens!
-Bah, ils ne vous méritent pas, autant prendre une planche et continuer le périple pépère...
-Vous avez une meilleure idée

La puissance de mes flatulences m'avait fortement surpris ! C'était Dyonisos qui devait être content de voir ce spectacle, voire peut-être même jaloux.

Néanmoins, il fallait trouver une solution, le bâteau coulait et les autres s'enfuyaient sans demander leur reste.

N'étant pas assez rapide pour les rattraper, je n'allais pas les poursuivre. Je ne luttes pas contre un navire toutes voiles dehors, c'est perdu d'avance. Par chance, je voyais un rivage se dessiner à l'horizon. En y allant tranquille, je pouvais peut-être le rejoindre.

Je récupérais une partie du mat, une pièce solide, et me jettais à l'eau avec.

Il vous faut quelques heures pour rejoindre le rivage sur votre embarcation de fortune. Arrivé sur la terre ferme, vous faites un rapide inventaire: rien sur vous à part vos guenilles, mais au moins vous êtes sain et sauf. Cependant, vous n'avez aucune idée de votre destination. Vous êtes bel et bien perdu.

Votre ventre gargouille, c'est qu'il faut nourir cet estomac large de plusiers mètres. Il y a la plage d'un côté, des fourrés de l'autre côté d'ou vous pouvez voir sortir quelques poulets! Un peu plus loin, vous voyez un chemin s'enfoncer sur les terres. Sur votre droite, des pêcheurs semblent se préparer à partir en mer.

Que faites vous?
-Ventre affamé n'a pas d'oreilles, inutile de continuer la panse vide, vous partez à la chasse.
-Des poulets, c'est pas le Pérou, peut être si vous prenez cette route peut être qu'un petit restaurant s'y cache
-Le plus important, c'est de savoir où vous êtes, il faut aller questionner ces pêcheurs...et peut être récupérer un ou deux poissons dans la manoeuvre...

L'île atteinte, il est plus que temps de passer à table ! MANGER !!!!
Des poulets ? C'est un bon hors d'oeuvre pour se mettre en appétit.
Cependant, il y a des pêcheurs un peu plus loin. Ne sachant où je suis, je pourrais facilement me renseigner auprès d'eux. De plus, ils pourraient me dire où manger, voire même mieux, me fournir quelques vivres contre quelques travaux nécessitant ma force.

Je me dirigeais vers eux et m'adressa à eux en ces termes:
Bonjour ô bénificiaires des bienfaits de Poséidon ! Pourriez-vous me dire sur quelle île je me trouve ? De même, auriez-vous un quelconque besoin de ma force, force que j'échangerais contre quelques poissons ?

Les marins furent surpris de voir un géant sur leur ile, mais surtout un géant à l'élocution parfaite. Après un moment d'hésitation et de concertation, ils vous répondirent:
-D'accord, Géant. Si tu nous aide, nous te rendront la faveur. Nous sommes évidemment pêcheurs, mais depuis quelques jours, nous revenons bredouilles. La faute à une créature qui semble percer nos filets et nous empêchent de ramener le moindre poisson. Ta force pourrait nous être utile pour défaire cette bête. Nous sommes prêt à te donner la moitié de notre pêche si tu élimines cette nuisance...Alors veux-tu nous aider?

-Vous acceptez sans hésitez, tant de poisson pour si peu de travail, il faudrait être fou de refuser
-Vous refusez, vous ne faites plus confiance aux marins après toutes vos péripéties
-Vous préférez prendre la route et voir si vous trouverez en chemin des personnes plus aimables et désireuses de vous aider.
-Vous avez une autre idée

Les pêcheurs semblaient fort surpris de me voir, et encore plus de m'entendre.
Il faut dire qu'Athéna m'avait offert plus que de l'intelligence, un accès à la civilisation, et cela n'a pas de prix. D'autant plus que plus cela allait, et plus je me rendais compte que les humains étaient parfois plus bêtes que moi, à mon grand étonnement, et surtout au leur !

Devant ma requête, ces derniers me répondirent positivement, mais avec une condition, se défaire d'une créature.

Pêcheurs ! Avant de vous donner ma réponse, auriez-vous plus d'informations sur ladite créature. Je veux bien rendre service, mais vous comprendrez que je ne veux pas mourir en l'affrontant, alors il me faut des informations précises pour voir si ce combat est du domaine des dieux ou bien du domaine d'un humble géant.

-C'est bien là le problème, géant. Nous n'en savons rien. À peine voyons nous une gerbe d'eau venir en direction de nos filets, et lorsque nous les remontons, ce dernier est transperçé! Vois par toi-même!

Alliant le geste à la parole, les marins vous montrent un reste de filet. Celui-ci est percé, déchiré plutôt par quelque chose qui aurait une grande force.

-Alors géant, aurais-tu peur?

Que faites vous?
-Vous les aidez
-Vous préférez ne pas prendre de risques inutile et vous choisissez de prendre le chemin que vous aviez vu précédemment.
-Quelque chose d'autre vous passe par la tête...

C'est bien là le problème, géant. Nous n'en
savons rien. À peine voyons nous une gerbe d'eau venir en direction de
nos filets, et lorsque nous les remontons, ce dernier est transperçé!
Vois par toi-même!

Et ils me montrèrent un filet, enfin un reste de filet, car il était méconnaissable. C'est vraiment effrayant ce qui a du se passer !

Alors géant, aurais-tu peur ?

Peur ? Oui j'ai peur ! Et c'est normal quand on affronte quelque chose d'inconnu ! Cette créature est rapide et en plus dans son élément dans l'eau, alors que je suis lent ! Il y a de quoi avoir peur, non ?

Je réfléchissais un peu. C'est bon, on va voir ce qu'on peut faire contre ça ! Montrez-moi où cela se passe et j'essayerais de l'affronter là où j'ai pied, sinon c'est perdu d'avance !

Les marins vous emmènent sur leur petit bateau. D'abord non loin des côtes. Le filet est lancé et revient rempli de petits poissons.
-Prend ta part, Géant. Nous avons besoin de ta force.

Le poisson est cru, mais on ne peut plus frais. Après avoir ingurgité une bonne dose, et après avoir envoyé le filet plusieurs fois de suite sans la moindre attaque, les marins prennent la parole:
-Peut être la bête a peur du géant!
-Oui, cela doit être cela, aventurons nous plus loin alors, nous avons besoin de plus gros poissons pour le marché du village!

Vous vous enfoncez donc un petit peu plus dans la mer et les marins lancent le filet. Il ne faut pas attendre longtemps pour vois une gerbe d'eau s'avancer à grande vitesse vers vous!
-La...la bête!!! Géant, fais quelque chose!!!

Que faites vous?
-Vous attendez que la gerbe soit assez proche pour l'attaquer
-Vous préférez attendre avoir un visuel sur cette chose
-Vous vous dépêcher de récupérer le filet, il ne faudrait pas gâcher tout ces poissons
-Vous êtes trop jeune pour mourir et vous sautez à la mer
-Vous avez une meilleure idée

Ces sacripants n'avaient pas tenus compte de mes remarques, nous allions vraiment plus loin que je ne l'avais demandé, mais bon, plus question de faire demi-tour !

Du menu fretin m'avait été donné, et c'était suffisant pour le moment, mais juste pour le moment.

Puis ils avaient jeté leur filet un peu plus loin, pour avoir du poisson avec une valeur marchande certaine. Pas plus de 20 secondes après avoir mouiller le filet, une grande gerbe d'eau se déplacait dans notre direction. Les marins, affolès, me dirent: La...la bête!!! Géant, fais quelque chose!!!

Oui ben, y a pas le feu ! Et puis taisez-vous, je me concentre pour sauter dessus au bon moment.

La fameuse gerbe arrive à bonne distance et je saute dessus. J'entends derrière les cris des marins, car mon envol a du faire pas mal de dégâts sur leur bâteau.

Vous plongez courageusement dans l'eau vers cette chose inconnue. vous arrivez à vous aggripper à cette chose, mais sa peau semble si lisse que vous lâchez prise et commencez à sombrer!

À votre gauche, vous pouvez discerner le filet des pêcheurs, en face de vous, la chose qui s'approche...vous ne pouvez retirer vos yeux de la lumière s'échappant d'un oeil de cette bête...qui semble être un espadon d'une taille encore jamais vue par vous, peut être le double de votre taille, mais vous n'en êtes pas sûr. Cet espadon a un oeil qui brille d'une intensité étrange, et son corps semble tourmenté à en juger par l'apparence torturé de ses formes. Ce n'est assurément pas un espadon naturel, sa corne démesurée et sa bouche dentée finissant de convaincre le plus sceptique.

Vous voilà donc sous l'eau[pour 4 tours!!!], vous retenez votre respiration, mais pour combien de temps? L'espadon vous charge à toute vitesse!

Que faites vous?
-Vous tentez de revenir à la surface à la nage, l'eau n'est vraiment pas votre fort
-Vous tentez d'aggriper le filet, cela peut être utile
-vous préférez attaquer frontalement ce maudit poisson

Je saute dans l'eau, un gros plouf quoi !
J'agrippe la bête, mais la peau est trop lisse pour que je puisse avoir une prise correcte et il m'échappe.

Je vois que c'est poisson, et même plus que ça ! Il doit faire dans les 8 mètres ! 8 mètres pour un espadon, je ne croyais pas cela possible. Puis il se retourne et son oeil, oui car il n'en a qu'un, est allumé d'une étrange lueur, lueur démoniaque à coup sûr. Cela ne me dit rien qui vaille, et d'ailleurs, son corps raconte la même histoire que son oeil, mauvaise pioche !

Première pensée: avoir un peu d'assurance dans ce monde liquide qui m'est si étranger. Pour cela, je tentes de m'agripper au filet, sachant que cela me facilitera ma remontée à l'air libre et ma défense, même si le filet semble être la cible de prédilection dudit poisson !

Vous vous aggrippez au filet et tentez de remonter à la surface avec, mais il semble que les marins n'aient pas la force de vous soulever. Vous voilà donc sous l'eau avec un filet et un espadon qui s'approche près à vous éventrer, ce n'est pas tout les jours qu'il y a géant au menu. Il vous faut agir vite, car vos poumons ne vont pas tarder à vous brûler!

Que faites vous?
-vous tentez d'utiliser le filet sur l'espadon, action difficile à tenter mais la plus efficace pour capturer le poisson
-vous tentez d'esquiver l'espadon, peut être qu'il n'aime pas la viande de géant
-vous tentez de lui décoller une grosse baffe, plus facile à tenter que de manier le filet, mais plus téméraire
-vous préferez tenter de remonter à la surface

Je m'aggripe au filet. Bien entendu, ces faibles marins ne sont pas capables de me remonter, mais cela ne m'étonne qu'à moitié.
Va falloir penser à respirer !

D'ailleurs autant le faire de suite, car au moins si je m'attaque au monstre, je pourrais tenir plus longtemps comme ça, sinon ça va tourner court très vite.

Aller hop ! on tente la surface, et avec un peu de chance, je serais de retour pour attraper le monstre. Puissance d'Athéna, soit avec moi !

Vous tentez de remonter à la surface mais l'espadon est bien plus rapide que vous et vous empale le bras sous le coude à l'aide de sa corne acérée. La douleur est immense mais pas assez suffisante pour vous faire perdre connaissance, ni même relacher le filet. Mais vous ne pouvez remonter à la surface, la force de l'espadon étant équivalente à la votre.

Vous voyez cependant que l'oeil brillant n'est qu'en fait une pierre précieuse profondément enfoncé dans son crâne. Le temps presse, bientôt, vous ne pourrez plus retenir votre respiration.

Que faites vous?
-Vous frappez l'espadon avec votre main libre(vous lachez donc le filet)
-Vous tentez de prendre cette pierre précieuse(vous lachez donc le filet)
-Vous utilisez le filet sur l'espadon
-Vous tentez une autre option