Quête : Le Navire Marchand [Bobbius]

Ordre de jeu : PNJ 1 + Bobbius
Temps de jeu : Non définis

Vous voilà tout deux devant la mission, une feuille laissez prés d'un bateau, vous l'avez acceptez tout deux à divers moments de la journée, une mission périlleuse puisqu'il faut transporter un colis de l'autre coté de cette grande étendue d'eau... Vous partez depuis le port de Sparte à l'est de la Méditarnée et votre périple vous emmenent à Byzance tout à l'est pour ravitaller des lignes Spartiates qui sont actuellement au frond, votre mission est simple, vous déposez les caisses d'armes et repartiez immédiatement, il est hors de question que vous soyez lancer dans le conflit en raison de votre inexpérience dans le domaine du combat...

Vous voilà tout deux face au commenditaire de cette mission, un certain Estodios qui vous lache ses quelques mots

"Allez les gars ! Vous devez prendre place dans ce bateau, il faut qu'il arrive à Constantinople dans les plus brefs délais"

Vous voilà maintenant sur le bateau... Vous pouvez rejoindre les rangs et partir vers la mission, ou visiter la calle ou se trouve les armes, mais attention, l'endroit est reservée et y pénétré sans autorisation pourra valoir l'éxécution... Sur le quai se trouve également un groupe de soldat, tout juste revenu du front, encore meutris par les combats...

Bobbius prit place sur sur le bateau. Mais il n'appréciait guère le ton sur lequel on lui avait parlé. Dans d'autres circonstances, il aurait tranché la gorge de son interlocuteur.

Il ne fallait pas regarder de travers le fier Bobbius...Il fixait les soldats et se souvenait lorsque, lui aussi fit partie d'une troupe. Mais c'était avant le meurtre de son capitaine, avant d'être banni...

Néanmoins, Bobbius se sentait toujours l'âme d'un guerrier. Ce métier, il était nécessaire car il avait besoin d'argent. Mais il ne put s'empêcher d'adresser la parole à un soldat:
-Frêre, quelles sont les nouvelles du front?

Visiblement, le bateau s'appretait à partir, mais votre désir de connaissance sur le front était plus fort que celui de se plier au rang, vous êtes donc allez consultez la troupe de jeune soldat sur le quai...

Pour répondre à votre question l'un d'eux vous réponds d'un air égaré et affaiblis, comme sous le choc et miné par cette guerre qui touche votre pays...

"C'est horrible ! Ils sortent des créatures étrangent de nul part ! Je n'ai jamais vue pareil abomination, que Harés en soit témoin !"

Des créatures au front ? Peut-etre que vous devriez tout de même jeter un oeil sur place pour découvrir ces choses dont parle cet homme...
Quoiqu'il en soit le chef des marins appelent pour l'embarquement, vous rejoignez le bateau par obligation.... Vous voilà maintenant sur le pont alors que le navire commence à prendre le large, son commandont vous ordonne de prendre votre poste... Mais un détour vers les calles pourraient peut-etre s'averer fort intéréssant, mais encore une fois, vous rejeterais leurs autorités et pourrait être punis d'avoir accédés à une zone qui ne vous ait pas reservé...

-Des démons!!

À l'écoute de ce mot, Bobbius se mit à rêver de batailles sanglantes, de combats acharnés contre des nuées d'adversaires déferlant par vagues innombrables s'écrasant sur le seul obstacle pouvant les stopper: Bobbius, lui même.

Bobbius rêvait de gloire, de bataille, il le savait: il était destiné à de grandes oeuvres. Là, il n'était que rameur, mais cela ne durerait pas...

Bobbius prenait son poste mais le coeur n'y était pas et sa tête non plus...Malgré que le marin voisin ne cessait de papoter des histoires impropables incluant des femmes de joie et lui en étalon, Bobbius ne pensait qu'à une chose: l'excitation de l'aventure.

Et ces cales...ces cales devaient cacher quelque chose. En effet, une menace d'execution pour visiter une simple cale? Des armes puissantes doivent s'y trouver! Par Arès, assez puissantes pour vaincre ces démons, et qui seul mieux que lui pourrait les utiliser.

Bobbius jeta un regard glacial à son voisin et lui dit:
-couvre moi, je dois aller faire pleurer le colosse.

Et Bobbius profita que le garde regardait dans une autre direction pour tenter de s'infiltrer discrètement vers les cales. Ses rêves de gloire et d'aventures pouvaient maintenant commencer ou finir lamentablement...

Vous voilà, pénétrant dans la cale, votre voisin continuant de narrer ses exploits nuptaile à qui veut l'entendre, se moquant completement de votre couverture...

Par chance vous avez réussit à pénétré, car ce voisin n'est pas si bête et sans cervelle, en gueulant aussi fort ces divers jougtes amoureuses, il a attiré l'attention du garde qui par conséquent vous a laissé involontairement pénétré dans la cale...

Vous voilà dans une sorte de gigantesque entrepot, des caisses, à droite, à gauche, des armures d'une valeure inestimable au fond posé sur des mannequins, en prendre une serait trop risqué même si elles ont fier allure et que vous reverez d'en portez... Mais voilà, alors que vous commencez à voir au loin, une caisse renfermant des armes ornés de bijoux et de diamants, le garde revient à son poste en sifflotant un air Spartiate...

Que faire ? Vous cachez et attendre le meilleur moment pour pourquoi pas dissimulé une arme sur vous et filez aprés comme-ci de rien n'était ? Assomé le garde et esperer qu'il reste inconscient jusqu'à ce que vous sortez du navire ? Ou le tuer et cacher son corps, mais si jamais on découvre que vous êtes son meurtrier, le chatiment suprème vous attends !

Lorsque Bobbius entendit le garde revenir, Il dut agir sans réfléchir, par reflexe. Il se cacha dérrière la grosse caisse d'armes. Tant qu'a rester immobile pendant un petit moment, autant avoir une belle vue devant soi.

Bobbius dut se retenir pour ne pas prendre cette magnifique épée ornée de pierres précieuses. La lame était brillante et semblait pouvoir transpercer n'importe quoi avec aisance. Sûr qu'avec une telle arme, Bobbius ne ferait qu'une bouchée de ses ennemis, humains, démons ou pire.

Bobbius attendit donc qu'une occasion se présente pour partir. Si il resterait trop longtemps ici, quelqu'un finirait par remarquer sa disparition...Mais en même temps, Bobbius ne pouvait partir sans prendre quelque chose de cette magnifique salle d'armes...Une dague, un glaive, un sac de bijou, quelque chose...Il se mit en tête que, lorsqu'il aurait une ouverture, Bobbius quitterait les cales pour revenir à son poste, mais en tentant de prendre quelque chose au passage, quelque chose qu'il cacherait sous sa tunique.

Et il se mit à attendre...

Vous vous cachez dérriere une caisse, le garde ne faisait pas attention à vous, et s'assit sur une des caisses regardant un papyrus sur lequel était inscrit des phrases... Visiblement, il s'agissait d'une lettre de sa famille, au vue de ses réactions et de ses pensées à haute voix... Il ne faisait pas trop attention à ce qui se passait dérrière lui, et nul doute que vous pourrez l'assomer sans trop de soucis... Un coup bien placé et on n'en parle plus...

D'autant plus qu'apparement les gardes n'ont toujours pas remarqué votre absence dans les rangs de la galère, et que vous êtes ici en parfait incognito...

Mais cette caisse à coté de vous... Des armes tout genre d'arme aux inscriptions Greques... Des signes de votre langue natale, voulant dire "Puissance" et autre mots relatif à la force d'un guérier... Prendre une arme serait une aubeine, mais aprés, comment ne pas se faire reperer ...

Vous voilà désormais devant un choix, vous pouvez toujours attendre une meilleure occasion dans cette salle, et fouillez de fond en comble pour découvrir si de plus gros trésors ne s'y cache pas, ou assomer le garde et filer à l'anglaise avec peut-etre une arme et rejoindre les rangs de la galère...

Bobbius était réellement attiré par cette merveilleuse arme grecque. Puissance...Cela devait être une arme sorti des forges d'Ephaïstos même...Bobbius pourrait être invincible avec...Mais il était réaliste, comment cacher une arme aussi grande dans ses vêtements? Cela serait impossible. Et si il veut réussir sa quête, il faut faire preuve de patience.

Il opta donc pour la solution la plus sûre: Il prit une arme au hasard prêt de lui, sans réellement regarder ce que c'était et décidait de frapper le garde à la tête avec cette arme.

Il retint sa respiration, prit une arme et frappa avec toute sa détermination possible...Mais cela fut-il suffisant?

L'homme fut tué sur le coup... Vous avez désormais du sang sur les mains, vous voilà auteur d'un crime contre un frêre... Sur la lettre vous lisez en début ces quelques mots.. "Père, reviens nous vite..."...

Mais cet homme, ne revera plus ses enfants, il est raide mort à vos pieds, son sang gisant jusqu'à vos sandalles... Alors désormais, vous avez le choix, vous pouvez rentrez dans le rangs et rejoindre la galère... Cacher son corps et attendre, peut-etre que durant le voyage, personne ne vous remarquera et que vous pourrez ainsi sortir avec une arme une fois arrivée à Babylone... Mais également, que faire de ce glaive en fer que vous venez de trouver, le garder ou non ? Vous n'êtes pour l'instant, pas assez fort pour l'utilisé correctement, mais ça peut servir pour plus tard... Vous remarquez également une petite besace accroché à la ceinture du défunt soldat... Dépouillerez-vous le mort ?

Cela n'a jamais été l'intention de Bobbius de tuer ce garde. Mais Arès avait sûrement guidé son bras et les dieux avaient décidé que l'heure de ce malheureux avait sonné. Bobbius étant très croyant, il ne se sentait pas responsable. Tout avait une raison.

Bobbius tenta de cacher le corps et dépouilla le mort de ses possessions...Mieux, il eut l'idée de se déguiser en soldat, qui sait? peut être que sous le casque du garde, personne ne reconnaitra Bobbius, mieux, si jamais quelqu'un venait à découvrir l'absence de Bobbius, il ferait passer le garde mort pour lui en racontant une histoire...il l'aurait surpris en train de voler dans les cales et il l'aurait tué...

Mais pour l'heure mieux valait garder un profil bas. Après s'être déguisé en soldat, il examina les possessions qu'il avait emprunté au mort...

Aprés avoir ue la brillante idée de prendre l'habit du soldat, vous fouillez ces biens... Rien de bien intéréssant, une épée en cuivre qui lui servait d'arme et 27 Stateres ainsi qu'une fleur séchée glissé contre sa poitrine... Sans doute symbole de son amour qui l'attendait à Sparte.

Soudain, un soldat jaillit dans la salle et hurle à tue-tête...

"Un rameur s'est échappé ! Tu l'as vue ?"

Attendant votre réponse, il s'approche de vous et vous dévisage...

"T'es nouveau toi ? je t'ai jamais vue !"

Que faire ? tenter de l'embobiner dans une histoire farfelue, ou bien faire un mort de plus, le choix vous appartient, mais nul doute que vous devez faire le bon...


27 Stateres et une épée en fer sont ajoutés à votre inventaire.

Arès devait vraiment tester Bobbius, car les évènements allaient de Charybde en Scylla. Tout semblait aller de travers, mais pour Bobbius, tout cela avait un sens. Prouver à Arès qu'il pouvait être un champion digne de confiance.

Bobbius répondit au soldat:
-Je viens de la garnison de Sparte, celle qui vient d'embarquer ici, soldat...J'ai entendu quelque chose ici, et je suis descendu...voilà le corps du fugitif.

Et Bobbius montrait le corps. Il avait eu la présence d'esprit de défigurer le visage du soldat, le rendant méconnaissable.
-Il a voulu m'attaquer quand je l'ai surpris. Mais je suis une fine lame.

Bobbius tentait de se montrer le plus convaincant possible...Est-ce que le soldat allait le croire?

Le Soldat Spartiate regarda le corps du vrai soldat gisant dans du sang, son visage était completement tuméfié, méconnaissable, on ne pouvait même plus identifié son timbre de peau, tellement les bleus le défigurait totalement...

"Une fine lame ? Vous l'avez carrément massacré ?"

Il vous dévisagea du regard, tentant de percer un éventuel mensonge dans vos yeux, mais rapidement il vous adréssa ses quelques mots...

"Va jeter sa dépouille par dessus bord et file sur le pont ! Va voir le chef, il va te donner des nouvelles instructions, moi je reste ici..."

Le jeune soldat prit le corps de l'homme et vous le posa lourdement sur l'épaule, puis il vous poussa légerement, histoire de vous montrer qu'il fallait déguerpir, pour ça part, il s'assit sur une caisse et sortit des papiers de son armure...

Que faire maintenant ? Jetez la dépouille aux poissons semblent être une parfaite idée... Ensuite, pensez-vous devoir rejoindre le capitaine qui est présent dans la salle des rameurs, là ou certains d'entre eux pourraient vous reconnaitre si vous ne faites pas preuve de discrétion, ou tenter autre chose ? Ce navire est vaste et le voyage semble loin d'être terminé...

Bobbius décidait de jeter le corps à la mer, cela semblait une évidence. Le problème c'est qu'il pourrait être reconnu. Il lui faudrait trouver un casque lui recouvrant le visage. Ainsi, il pourrait passer inaperçu. Même si physiquement, Bobbius était quelconque, ordinaire pour un spartiate, il ne fallait pas prendre de risques.

Après avoir jeté le corps du malheureux à la mer, et avoir lancé une petite prière pour son àme, Bobbius se mit en quête de trouver un casque, peut être un soldat en aurait oublié un quelque part...Bobbius affichait un profil bas, et tentait surtout d'éviter de rencontrer des rameurs qui pourraient le reconnaitre...

Le cadavre jeté au flot, vous voilà maintenant libéré de cette tache, mais un casque s'impose, mais comment s'en procurer un ? Seul les gradés sont autorisés à en porter un sur ce navire, et votre uniforme n'as rien de celle d'un gradé... Vous n'avez guer le choix et devrait faire profil bas, alors que le chef vous aperçoit au loin et vous appels

"Et toi ! Viens ici !"

Que faire ? Fuire et s'en aller du bateau ? Le rejoindre et faire trés attention à ne pas se faire repérer mais comment avec tout ses rameurs qui connaissent votre visage ? A moins que vous n'ayez une autre solution...

Bobbius devait improviser, encore une fois. Les dieux semblaient s'amuser de son sort, mais le spartiate voulaient leur montrer qu'il était de la race des héros, de ceux qui ne se laissent pas facilement abattre.

Quitter le navire serait une hérésie, pour plusieurs raisons: elle serait un aveu d'échec, sauter à la mer serait synonyme de mort, et Bobbius voulait à tout prix rencontrer ces démons et les tuer.

Donc, il devait rester. Mais pour rejoindre le capitaine, il devait passer devant les rameurs et certains pourraient le reconnaitre comme son voisin, celui qui parlait fort. Bobbius devait tenter quelque chose, forcer son destin. Il se dirigea donc vers son capitaine, la tête soit basse, soit fixant la mer, la direction opposée des rameurs.

Bobbius cherchait un signe des dieux. Quelque chose qui pourrait l'aider à créer une diversion si le rameur venait à le reconnaitre.

Arrivé à la hauteur de son ancien voisin rameur, Bobbius fit mine de glisser en touchant du pied l'epaule du rameur, puis se retourna brusquement vers ce dernier et l'empoigna sans ménagement:
-Comment oses-tu vermine, faire tomber un soldat de Sparte!
Et Bobbius le frappa plusieurs fois séchement pour l'empêcher de parler.
-Tu mériterais que je te tranche la langue pour cet acte, pourriture! Tu peux remercier les dieux de ma bonté.
Puis se tournant vers les rameurs:
-Est-ce que quelqu'un veut le même traitement? Alors au travail!

Bobbius relacha le rameur et espérait que sa ruse ait eu assez d'effet pour faire taire les rameurs qui pourraient le reconnaitre, et qu'au lieu de voir Bobbius, il y verraient la peur. Cependant, comment le chef allait réagir à cet excès de zèle?

Les rameurs se remit rapidement au travail aprés votre geste de cruauté, digne des plus grands chefs spartiate... Le chef qui se tenait devant vous, sourit devant cet acte qui venait de se dérouler, et quand vous arrivez à sa hauteur, il vous murmure ces quelques mots...

"Tout l'atitude d'un chef... J'aime ce genre de choses..."

Le chef vous fit signe de le suivre alors qu'il se dirige vers ces quartiers... Arrivé à ceux-ci quelques minutes plus tard, il s'assit sur ce qui semblait etre un fauteil devant son bureau...

"Prenez place soldat ! Dites-moi quel est votre nom ?"

Il vous toisa du regard et vous lança une question qui est des plus délicate, que faire ,avouez votre vrai nom avec le risques de vous faire prendre, mais également la chance d'être enfin reconnue dans l'armée ? Ou alors fuire et se crée une identitié...

Bobbius ne pouvait révéler son vrai nom. Lorsqu'il avait tué son capitaine, sur les ordres de ce qu'il pensait être Hadès, il fut banni de sa cité. Un souvenir douloureux, mais qui l'a amené à suivre les ordres d'Arès. Nécessaire si il veut devenir un grand héros, le bras armé d'Arès sur terre. Cependant, Bobbius pensa que peut être que son nom est connu. Bobbius le banni, le traitre, le meurtrier. Il tenta donc de se forger une nouvelle identité. Il se rappella le nom de son capitaine et dit, tout en inclinant sa tête en signe de respect:
-Mon nom est Xenon. À votre service.

Est-ce que cela allait suffir à dissiper définitivement les soupçons qui pèsent sur lui?

Le capitaine vous dévisage... Xénon, ce nom lui disait quelques chose, un soldat confirmé non ? Il n'en était pas sûre... Il porta son regard sur la carte dérrière son bureau et prit quelques secondes de réfléxion...

"Xénon.... Votre nom me dit quelques chose..."

Il se tourna à nouveau face à vous...

"Ecoutez mon braves... Je pense que vous êtes un homme digne de confiance... Mais cette mission, est un périple suicidaire, on nous envoie au front contre des milliers de Byzantin prêt à tout pour défendre leurs térritoires, et les créatures que Hadés leurs à fournit sont trop puissante et trop nombreuses pour que nous, Ô grand spartiates puissent les décimer..."

Il prit une mine dépitée et posa son coude sur la table pour appuyer sa tête dessus...

"Votre volonté et votre hargne me plait, je sent en vous le parfum de la victoire et de l'héroïsme... Une fois arrivée à Bizance, partez sur le champ de bataille et mourez dignement comme un héros pour la gloire de Sparte !"

Il se racla légerement la voix avant de reprendre

"A moins que vous préfériez revenir vers votre terre natale et fuire un combat pour l'honneur..."

Vous voilà donc dans un sacré pétrin, que faire ? S'en aller mourir contre des créatures que votre imagination ne peut deviner ? Ou finir la quête et revenir à Sparte ....

La mort fait partie intégrante de la culture spartiate. Elle ne leur fait pas peur. Bobbius n'était pas différent. Si il devait mourir, alors il rejoindrait Hadès ou Arès lui donnerait une accolade pour avoir bien combattu en son nom. La lâcheté ne faisait pas partie ni du vocabulaire, ni du mode de vie d'un spartiate. Si il devait mourir, et bien soit, il le ferait l'arme à la main et il acceuillerait le baiser de la mort avec sourire. Mourir sur le champ de bataille, existe-t-il une meilleure destinée?

Bobbius sourit et dit au capitaine:
-Qu'Arès me soit témoin, si aujourd'hui je dois mourir cela sera l'arme à la main et le corps couvert du sang de mes ennemis. Il ne sera pas dit que Xenon soit un lâche. Je ferais honneur à notre civilisation, à nos devoirs. Ce soir, nous dinerons en enfer! Gloire à Sparte!

HS : Tu as appris par coeur les répliques de 300 ?

Le capitaine vous lache un sourir et vous donne sa main en guise de respet mutuel... Il fouille quelques instant dans un coffre et vous ramene un glaive, une arme visiblement spéciale, des gravures étrangeres figurent sur la lame... Vous sentez qu'un aura bisard emmane de cette dernière...

Le soldat vous regarde et vous sourit avant de vous lancer ces quelques mots

"Voici une lame des plus puissante, vous êtes brave et fort... Je vous l'offre, soyez grés de ce présent et combattez sous mes ordres sur le champ de bataille !"

Cette arme était spéciale, assez longue, parfaitement aiguisée, pret visiblement à pourfandre n'importequels ennemis

"Acceptez-vous soldat ?"

Vous étiez, il y'as quelques minutes encore un simple rameur, mais grave à votre imposture, vous voilà désormais presque une elite personnele d'un chef de bataillon... Une situation bien délicate dans la mesure ou votre quête semble désormais completement être oublié dans votre esprit...

HS: et encore en VO, ça tue trop: Tonight, we dine in HELL!!!

Pour Bobbius, la quête n'était qu'un point de départ pour écrire sa légende...Il avait le choix entre revenir et être payé, repartir pour une nouvelle quête, ou connaitre l'excitation du combat. Comment un spartiate refuserait le combat? Et comment refuser cette arme? si magnifique, si attirante, si puissante. Pour Bobbius, il semblait qu'enfin, son destin commencait à s'écrire sur les manuscrits qui résisteront à l'épreuve du temps. On parlera de lui, le grand Xenon, le héros de la bataille de Byzance. Il ne serait plus ce petit rameur, il serait ce héros qui aurait combattu courageusement contre les hordes de barbares.

-Chef, c'est un honneur de combattre avec vous et de mourrir pour vous dit Bobbius en acceptant l'épée.

Le chef vous adréssa un grand sourir, et vous pria de le laisser dans ces quartiers.... Vous ressortez alors de cette salle épée en main et gagnez le pont, vous passez au passage dans la salle des rameurs sans éveiller leur attention... Vous voilà sur la bateau, avec cette arme magnifique maintenant... Qu'en faire ? Sa valeure est sans doute grande, vous pourrez la revendre, c'est presque une certitude... Mais vous pourrez également l'utilisé, un vieu sage présent à coté de vous s'approche et vous décrit cette arme

Citation :

-Glaive Batard :
Habileté requis : 10
Bonus/Malus : + de dégats sur les monstres

Vous voilà donc porteur d'une arme que pour l'heure vous ne pourrez manier avec justesse et donc en tirez toute sa puissance...

Deux jours s'écoulerent...

La terre semblait enfin arriver et votre voyage touchait à sa fin... Votre périle prenait fin, mais le pire vous attendez... Le bateau arrive à quai, desendre ou rester ? Aller intérroger les gardes présent sur le quai ? Ou bien directement foncer vers la hutte du commandant des lieux pour vous inscrire à aller sur le front...

Quelle belle arme. Sûre, Bobbius n'avait pas encore l'expérience nécessaire pour bien la manier, mais elle lui donnait un sentiment de confiance, de puissance qu'il ne fallait pas négliger. Avec elle, il se sentait invincible. Cette arme, il la garderait, et il apprendra a l'utiliser comme un maitre.

Le voyage touchait à sa fin et il était hors de question pour Bobbius de faire marche arrière. Il allait combattre, c'était son souhait depuis qu'il avait commencé cette quête...et qui sait? il pourrait revenir victorieux et prétendre à sa prime...

Mais pour cela, il fallait connaitre l'ennemi puis il irait voir son chef pour aller au front. Tout semblait aller enfin dans son sens. Aurait-il passer le test des dieux après toutes ces péripéties? Bobbius vit un groupe de soldat sur le quai et alla les interroger:
-Frêre, quelle est la situation sur le front?

Le groupe de soldat intérroger vous dévisagea du regard...Visiblement il ne semblait pas décider à vous parler, leurs armures étaient encore neuve, vous ne vous adressez sans doute pas aux bonnes personnes... Vous voyez également une nuée d'hommes bléssés et mort rapatriés et posé sur le bateau... Cette vision aurait apeuré et térrifié la plupart des hommes, mais les Spartiates sont entrainés pour résisté à ça.

Vu l'était des corps, il ne fait nul doute que sur le frond, c'est térrible, trop pour être des humains en face, des Spartiates décimés comme ça... Un dieu luttait contre vous, c'est une quasi-certitude...

Là, un groupe de soldat Spartiate arrive en courant, les armures souillés par le champ de bataille, il s'adesse au chef qui était dans le navire et lui tint ses quelques mots...

"Venez vite, ils attaquant notre campement, on ne va pas tenir !"

Le chef vous regarde comme pour vous lancez une invitation à le suivre, alors que tout le reste la compagnie prit les armes et fila à toute hate dérrière le chef...