Quête : Le Navire Marchand [Bobbius]

Vous voilà dans la caisse, vous vous endormez, le voyage se passe sans encombre... Vous vous reveillez quelques heures plus tard dans un entrepot... C'est désert autour de vous, vous êtes dans une sorte de grande cabane... Vous voyez une porte au loin, sortir ? Mais imaginez que dérrière vous tomber sur une nuée de soldat ? Vous devez rapidement rejoindre votre commanditaire pour terminée la mission, mais comment le rejoindre ? Comment sortir d'ici.

A plusieurs endroits vous remarquez que le mur semble faible, le casser ? Pourquoi pas...

Bobbius se retrouvait dans une salle vide, qui ressemblait à un entrepot...Apparemment, le bateau avait amarré à Sparte et voilà le soldat de retour chez lui. Cependant, la quête n'était pas terminée. Il lui fallait sortir d'ici...

Bobbius avait le choix...Soit la porte, soit tester les murs...Bobbius remarqua que certains endroits des murs paraissaient friable et fragile, peut être la bonne solution, mais, qu'est ce qu'il y avait dérrière ces murs?

Le spartiate décida donc d'avancer très lentement et silencieusement vers la porte pour l'inspecter...Il se mit à la recherche d'un trou de serrure pour y jeter un oeil, et si dans le pire des cas, il n'y en avait pas, il poserai son oreille contre la porte pour savoir si il aurait quelqu'un derrière celle-ci...

Il ne pouvait pas échouer maintenant, si près du but...

Vous remarquez qu'il n'y a aucun trou, la porte est surement fermé par l'extérieur par une sorte de baricade ou un systeme de blocage avec une planche de bois... En posant l'oreille sur cette dernière, vous entendez des bruits d'armures, sans doute des hommes en tenue guérriere qui patrouille, sortir par la porte serait impossible, il vous faut trouver une autre solution... En levant les yeux au ciels vous voyez en haut une espece de lucarne, vous pourrez sans doute y passer, mais comment y acceder ? Vous regardez autour de vous, vous apercevez quelques batons de bois, une corde un peu trop courte pour y grimper depuis le seul vers cette lucarne, mais également un tas de caisses de tailles variées....

Sortir par la porte était exclu, à moins de vouloir mettre un terme à sa vie. Bobbius n'avait pas résisté à une armée de byzantins pour mourir maintenant. Il commencait à pester sur son sort, lorsqu'il vit une ouverture en hauteur. Cela pouvait être sa sortie de secours tant cherchée!

Il se mit alors en tête d'utiliser les caisses les unes sur les autres pour grimper sur elles ensuite sur elles pour atteindre la sortie.

Bobbius prit ensuite un baton en bois et l'attacha sur la corde pour en faire un grappin. Il enroula la corde autour de lui. Si jamais le montage des caisses était trop court, il utiliserai la corde pour sortir...Cela n'était qu'en théorie...

Vous empilez les caisses l'une aprés l'autre, et grimper habilement grace à votre trés grande force... Vous vous aidez du grapin pour finir le travail, seulement lors de votre dernier appuie, par malchance vous faites tombez les caisses du haut qui s'explose en contre-bas, vous entendez alors des gardes s'agité et déployant tout votre pauvre vitesse, vous finissez de monter, mais rapidement un garde vous remarque et alerte le reste de la compagnie... Vous voilà sur le toit, en bas une nuée de garde, votre comanditaire est sur les quais, à quelques metres de vous, vous le voyez d'ou vous êtes, mais descendre maintenant serait un suicide, vous remarquez au loin un toit, avec un peu de chance vous pourrez le rejoindre en sautant... Mais si vous vous loupez, la chute en sera térrible... Vous remarquez également un aqueduc sur le coté... Une chose qui peut s'averer intéréssant, mais ou vous menera t-il ?

Décidemment, les dieux avaient décidé de s'amuser avec Bobbius. Il n'en sortirais pas aussi facilement. Le voilà découvert, son commanditaire juste en bas, dans la rue. Il n'avait pas trop le choix, sauter sur un autre toit, au risque de tomber et de se rompre le coup, ou sauter sur l'aqueduc. Il pourrait l'utiliser pour ensuite sauter à la mer. Moins dangereux et surtout, en disparaissant dans la mer, il pourrait échapper aux soldats.

Bobbius décida de sauter sur l'aqueduc, un saut bien moins dangereux, pour ensuite courir sur l'aqueduc, pour enfin, lorsque la mer serait au dessous de lui, sauter dedans.

De bonnes intentions, mais cela allait-il suffir?

Vous voilà dans ce conduit d'eau, vous vous retrouvez projeté dans la mer à quelques minutes de sparte... Mais ainsi vous avez semer toute patrouille, vous devez désormais éviter de rejoindre le port pour remonter, un retour par un autre endroti de sparte serait conseiller... Devant vous se trouve une entrée pour longer l'aléoduque jusqu'au centre de la ville, puis sur la gauche vous avez une plage plutot touristique... A moins que vous préferez nager un peu...

Bobbius avait réussi à échapper aux soldats pour le moment...Il était en train de nager non loin du port, sa destination. Mais il ne pouvait pas y aller maintenant tant que cela grouillait de soldats...et hors de question de rester trempé en mer. Bobbius décida alors de suivre l'aléoduque pour rejoindre le centre ville. Là, il y aurait nombre de personnes et cela serait facile pour lui de se fondre dans la foule...Aussi, celà lui changerait de rentrer enfin dans la civilisation après tout son périple...

Bobbius était si proche de la complétion de sa mission qu'il ne fallait pas tout brusquer...Il pouvait bien prendre un peu de temps, pour reprendre ses esprits et respirer l'air de la ville, si différent de celui du champ de bataille, qui sent le sang, la mort, la peur.

Bobbius se mettait donc en route pour le centre ville, en longeant l'aléoduque...

Le voilà longeant les chemins de l'aléoduque, c'était désert, vous croisez quelques chats et autres petits animeaux sauvages mais rien de bien méchant... Vous voilà arrivé dans la place du village, vous continuez à avancer ... Mais là, vous remarquez quelques gardes venir du port, sans doute des patrouilleurs qui regagnent leur poste maintenant que l'alerte est finis, ils renconnaitront vos visages c'est une certitude puisqu'il s'agit des deux gardes qui sont rentrés dans l'entrepot quand vous grimpiez à la lucarne... Que faire ? à votre droite se trouve un groupe de nomade, vous pourez aisément vous joindre à eux, mais leur acceuil ne sera surement pas des plus amical, à gauche vous avez une multitude de caisses, encore des caisses ? quoiqu'il en soit, c'est une deuxieme solution...

Il fallait agir et vite, des soldats étaient présents et bouchait le passage de Bobbius.

Des caisses où se cacher? Un groupe de baudouin peu acceuillant? Bobbius dut improviser une fois de plus. Il se trouvait maintenant en pleine place de Sparte(un grand village ma foi ), des personnes à perte de vue, des mendiants, des esclaves, des maitresses de maison, des enfants pullulaient l'endroit.

Bobbius s'approcha des baudoins et presqu'à leur hauteur, il s'agenouilla faisant mine de resserer ses sandales...Il attendit que quelqu'un ayant l'air rustre s'approche de lui... Son but était de le pousser discrêtement mais fermement vers le groupe de baudouin pour créer un début de bagarre qui servirait de diversion: Elle attirerait les gardes lui permettant de quitter les lieux subrepticement...

Il vit sa cible, un esclave sûrement par sa tenue qui courait, un document à la main vers une quelconque destination où son maitre l'avait envoyé ou l'attendait.

Lorsqu'il serait à proximité, Bobbius se relèverais brusquement et d'un coup d'épaule, pousserait l'esclave vers le groupe de baudoin...espérant causer la confusion...

Votre fin plan ne marcha pas comme prévu, en éffet, par votre lenteur vous ne poussez pas l'esclave au bon moment et ainsi changer sa trajectoire, au lieu de finir sur les météques, il tituba quelques pas avant de s'écraser contre les gardes, les faisant tomber ainsi, c'est votre aubeine, les deux gardes à terres, vous pouvez vous enfuir rapidement vers le port et les docks pour retrouver votre commenditaire ! De plus les gardes s'en prendront surement à cette esclave si vous réussissez à vous faufilez assez vite dérrière eux...

Bobbius n'eut même pas le temps de se féliciter de son échec qui est en fait un succès de son plan. À la vue des gardes au sol, il se mit à courir aussi vite qu'il put dans la foule, esquivant les passants, sautant par dessus les enfants, pour enfin se mettre derrière un mur au fond de la place et reprendre son souffle. Il jeta un coup d'oeil discret dérrière lui vers la place, pour voir si les soldats s'en prenait à l'esclave. Il espérait les voir en train de battre ce dernier, lui parler et non pas courir vers lui...Rêve pieu ou réussite?

Votre lenteur est votre défaut, l'un des soldat vous à vous, mais décidement la troupe de nomade ici de mannière peu légale les intéressent plus que votre cas, vous échappez à leurs courroux par chance, vous voilà maintenant dans une petite ruelle sombre, au bout de celle-ci vous voyez le port avec la fin de votre mission, la traversée ? Bien qu'elle soit trés lugubre et sombre ? Ou revenir en arriere et prendre la grande allée pour rejoindre le port avec la bataile entre les gardes et les nomades...

Bobbius avait la chance des dieux avec lui. Ils lui mettaient des épreuves les unes après les autres, mais semblaient généreux à chaque fois que le spartiate tentait quelque chose...Mais jusqu'à quand? La sortie semblait si proche, tellement proche que Bobbius pouvait sentir les statères dans ses poches...Mais voilà, une allée lugubre peu acceuillante se dressait entre lui et son butin.

Après avoir combattu sur le champ de bataille, ce n'est pas une petite allée lugubre qui allait lui faire peur...et surtout qu'il n'avait pas le choix, retourner vers la place pourrait être suicidaire, il ne faut jamais trop tenter sa chance...

Bobbius sentait qu'il y aurait quelque chose de louche dans cette allée qui ne lui disait rien qui vaille...Il dégaina son glaive de son fourreau et entra lentement dans l'allée(il ne pouvait de toute façons pas entrer de façon rapide)

Vous voilà dans cette allée qui semble des plus sinistres... Vous la traversez, heuresement pour vous, rien ne se passe, vous voyez alors votre commenditaire, seul sur les quais, aucun garde autour de lui, allez-vous le voir ? Ou préferez vous attendre d'éxaminer les lieux pour voir si des gardes peuvent revenir ?
Que faire ? Vous êtes si proches du but...

Le commanditaire de Bobbius était enfin là, devant lui, apparemment seul...Mais le soldat de Sparte avait affronté trop de dangers pour échouer aussi proche du but...Et si c'était un piège monté par les gardes de la ville pour l'obliger à se montrer?

Bobbius eut un doute que ces gardes soient aussi intelligent, et peut être qu'il devenait lui même paranoïaque après tout ce qu'il venait de vivre...Mais un homme averti en vaux deux. Pas question de prendre des risques inutiles. Bobbius attendit, tapi dans l'ombre, glaive sorti, pour voir ce qui se passait juste devant lui...

Rien ne se passait, vous restez là quelques minutes voyant votre commanditaire, s'agitez tout seul à attendre ce mercenaire, allant parler à droite à gauche aux dockers, mais aucun garde, la voie est libre, vous voilà prés de lui... Oseriez-vous enfin allez le retrouver et réclamer votre gain ?
Tout était propice à cette situation, votre fatigue, votre sueur, vos cicatrices, votre temps, tout ça allait enfin être récompensés...

Vous voilà devant ca fameux Okus Dockus... Il vous attends c'est une évidence...

Puisque rien n'arrivait, Bobbius quitta enfin son refuge pour aller à la rencontre de son commanditaire. La route avait été longue, sinueuse, mais il touchait enfin à son but.

Bobbius se rappelait toutes ses péripéties, le champ de bataille, les déguisements, les mensonges...Tout cela lui avait donné le gout de l'aventure, de recommencer à chercher une quête pour goûter de nouveau à l'excitation.

Il arriva à la hauteur de son employeur, puis l'harangua:
-Okus Dockus! Me voici!

Bobbius s'attendait maintenant à être payé...

Okus Dockus vous félicite de votre réussite et vous remet votre récompense, il vous tient également ces quelques mots.

"Merci, je pense qu'on fera à nouveau affaire à l'occasion"



Quête terminée !

Rendez-vous
ICI