La solution miracle [Julius Lotinus]

Ordre de jeu : Tour à tour : PNJ 3 Flavius Aetius
Temps de la quête : Non définis

Vous vous retrouvez en Basse Egypte, à Memphis alors que vous devez rejoindre la Haute Egypte, près de Thèbes, non loin de la 1ere cataracte du Nil. Vous avez eu un petit sac avec quelques rations frugales, sûrement pas assez suffisantes pour tout le trajet. Il vous faudra vous trouver de la nourriture en route.

Vous quittez les portes de la ville lorsque vous voyez un marchand être importune par un garde qui semble être saoul. Ils en veux sûrement à sa cargaison trônant sur le dos de son dromadaire.

S’en prendre à un pauvre marchand est un acte lâche, mais le garde représente quand même la loi.

Que faites vous? Vous fermez les yeux et passer votre chemin ou vous vous portez au secours du marchand?

Je viens à peine de recevoir ma mission, que je décide directement de me rendre en Egypte. Suivant les indications que j'ai, je me dirige dans la basse Egypte qui est censé être mon points de départ pour cette conquête.

J'arrive à Memphis, je me repose quelques minutes le temps de reprendre mon souffle car j'ai déjà quelques dizaine de kilomètres dans les jambes.
Bien décidé à ne pas décevoir mon chef, je reprend la route ...
Je sors de la ville et au moment de passer l'immense porte, j'aperçois un marchand se faire légèrement agresser par un garde. Ce garde semble même saoul, chose qui n'est pas normal pour un garde qui est censé faire règner l'ordre.

Deux solutions s'offrent à moi ... Soit je continue comme si je n'avais rien vu, soit je porte mon aide au vieux marchant avec son dromadaire surchargé. La décision est vite prise, je cours à l'aide de ce vieux bonhomme. Je cours vers le garde et lui dit:

-"Oh toi, garde ... Laisse ce marchand en paix, il ne t'a rien fait"

Le garde se retourne vers vous. Il est visiblement en état d'ébriété:
-Que me veux-tu romain? Ici, nous ne sommes pas en terrain conquis! Continue ton chemin ou tu gouteras ma lame! Par Isis!

Et il retourne vers sa persecution du marchand. Il en veut à ses produits, et parle d'une nouvelle taxe pour quitter la ville. Il doit donner. Mais le marchand refuse, dès lors, il se voit jeter par terre, et le garde dégaine son arme.

Que faites-vous?
-Vous intervenez et attaquez le garde
-Vous quittez la scène, vous n'avez pas besoin de cela en ce moment
-Vous tentez autre chose en improvisant

Le garde se retourne vers moi et me dis:

-"Que me veux-tu romain? Ici, nous ne sommes pas en terrain conquis! Continue ton chemin ou tu gouteras ma lame! Par Isis!"

Puis il retourne vers le marchand pour lui voler de l'argent.

*Il se prend pour plus fort qu'il n'est*

Je le vois prendre son arme en main, ni une ni deux je lui prend le bras pour l'empecher de l'utiliser et tuer le pauvre marchand.
Au moment ou j'empoigne son bras, il me jette un regard sombre comme s'il allait se transformer en une créature du mal, mais ceci est du à la trop grande dose d'alcool que cet homme a ingurgité.
En le regardant je lui dis:

-"Tu as beau faire règner l'ordre, tu n'as pas à maltraiter les marchands qui ne sont pqs en tort."

Le garde semble surpris par votre acte. Il vous regarde droit dans les yeux et essaie de vous décrypter. Il ne sait que faire...

Que faites vous?
-Vous en profitez pour le frapper
-Vous tentez de le raisonner
-Vous continuez de le fixer pour lui faire peur
-Vous relachez votre etreinte et quitter les lieux avant que tout n'échappe à votre controle...

Le garde semble surpris que je l'empoigne de cette manière et bien décidé à lui montrer qui est dans son droit, je continue de le fixer profondement dans les yeux.
Pendant cet échange de regarde, des petits groupes de paysans viennent se regrouper autour de nous pour voir ce qu'il se passent.
Tout en gardant les yeux braqué sur cet homme de loi, je dis:

-"Cher citoyens, oui je suis un étranger, oui je porte tête à se garde, je suis dans mon droit, regardez cet homme ivre mort aui tente de voler de l'argent et des marchandises à se pauvre vieux marchand. C'est avec ce genre de pratique que vous aurz de plus en plus de mal à vous ravitailler en article de tout genre. Si des gardes continuent à voler et traumatiser vos marchands, ils fuiront ces lieux."

Après ces paroles, je continue de fixer le garde qui semble trembler. Ensuite je lui dis:

-"Tu vois cet homme que tu maltraite, pense qu'il doit nourrire une famille tout comme toi, pensent à ses enfants qui attendent de la nourriture tous les jours, si tu ne le laisse pas, tu aura la mort d'innocent enfants sur ta conscience. Si tu veux te battre et devenur populaire, bat toi, affronte des hommes à armes égales"

Le garde écoute vos paroles, et devant le petit atroupement qui commence à se créer, décide de rebrousser chemin:
-Soit, va-t-en marchand, et que je ne te vois plus ici! Et toi romain, que Ra te brûle la peau jusqu'au sang durant ton périple!
puis d'adressant à la foule en agitant ses bras:
-allez, circulez! y'a rien à voir!

Le garde s'éloigne, ainsi que la foule. Le marchand vous regarde, reconnaissant:
-Merci, Romain pour m'avoir aidé. Je te suis redevable pour ton acte de charité. Demande moi ce que tu veux, et dans la limite de mes faibles moyens, je te le donnerais...

Que voulez vous?
-De la nourriture, c'est le plus important
-Un moyen de locomotion, son dromadaire serait parfait
-Un compagnon de route, car un voyage à deux, c'est mieux...

Après ces échanges à fortes émotions, le garde décide de faire marcher arrière et dit:

-"Va-t-en marchand, et que je ne te vois plus ici! Et toi romain, que Ra te brûle la peau jusqu'au sang durant ton périple!"

Puis il s'adresse à la foule et agite ses bras en étant furieux de cette défaite morale:

-allez, circulez! y'a rien à voir!

Le marchand soulagé se dirige vers moi et me remercie de l'avoir aidé dans cette situation périeuse. Pour me montrer sa gratitude il me propose de la nourriture que je refuse

-"Garde bien cette viande pour ta famille"

Il me propose ensuite son dromadaire et je refuse également.

Finalement je lui demande s'il se dirige vers Thèbes et s'il peut m'accompagner sur un bon bout de chemin.

Le marchand vous annonce qu'il se dirige en effet vers le sud, il y a une oasis sur le chemin où son maitre l'attend pour regrouper toute la caravane de dromadaire, chameaux et chevaux.

Un peu de compagnie(et de protection) ne sera pas de refus!
Vous faites donc connaissance de Messou, marchand qui travaille pour son maitre Yahmose, un des marchands les plus puissants et riche d'Egypte. Leurs caravanes partent loin dans les provinces barbares de l'Est et reviennent gorgées d'épices et de soie.
-Et toi mon ami? quel est le but de ton voyage?

Que lui répondez vous?
-Vous lui dites la vérité et parlez de votre mission
-Vous lui mentez, votre mission doit rester secrête.

Après quelques échanges de politesse, je découvre que le vieux marchand s'appel Messou. Il me raconte qu'il se dirige vers le sud pour reformer la caravane de son maître Yahmose qui est un des plus grand marchand d'Egypte.
N'aimant pas la solitude, je lui demande si je peux l'accompagner jusqu'à l'oasis pour ensuite reprendre mon chemin vers Thèbes.
Il me dit que oui mais me demande pourquoi j'insiste tant pour aller vers la haut Egypte. Je lui réponds:

-"J'ai reçu une mission périeuse à réaliser, et pour l'accomplir que je dois me rendre la bas. Tu as l'air d'être un homme de confiance donc je vais te raconter mon secret. Je dois me rendre la bas pour récolter une plante qui ne pousse que derrières la coline sud de la ville, cette plante est très spéciale et rares. J'espère que tu saura garder ma confiance.

-Serais tu à la recherche de la plante magique? Celles qui est capable de miracles et que seuls les alchémistes peuvent utiliser? Mon maitre est le plus grand producteur de cette plante..mais...la récolte est...comment dire...très difficile...Mais peut être qu'il voudra t'en vendre un peu, ami.

Messou avait l'air chagriné depuis que vous avez mentionné votre mission. Comme si il cachait un terrible secret. Cependant après quelques jours de marche sans encombre, l'ambiance parmi était bonne. Lorsqu'un soir, autour du feu, alors que vous échangiez quelques anciennes histoires mutuelles, vous entendirent des bruits suspects.

Au loin, des ombres de chacals, affamés sûrement. Le feu les empêcheraient d'approcher. Mais soudain, sans crier gare, un inconnu se dressait devant vous. Il était habillé de multitudes de couches de guenilles sales et dépareillées, et un turban lui couvrait la tête. Il était impossible de voir son visage et par cette nuit étoilée, seul un trou béant sombre était visible. L'homme ne dit rien mais Messou lui demanda de partir:
-Va-t-en, nous n'avons rien pour toi.

La silhouette restait immobile et Messou commencait à perdre son calme:
-Va-t-en!!!

Que faites vous?
-Vous demandez à Messou de se calmer et inviter l'homme à rejoindre votre groupe, question d'hospitalité
-Messou doit avoir ses raisons, Vous vous proposez de faire fuir cet inconnu
-Vous restez là où vous êtes en attendant de voir ce qui se passe
-Vous avez une meilleure idée

Après plusieurs jours de marche, on décide de se reposer un peu plus que d'habitude. Il fait noir, le ciel est dégagé et on peut voir toutes les étoiles. On s'échange des histoires de famille, je lui raconte que j'ai très vite été livré à moi même dans la vie avec les décès de mes parents. Mais je vois dans ses yeux qu'il réfléchis beaucoup, qu'il n'est plus à l'aise comme au début.

*Je n'aurais pas du lui raconter ma mission secrete, l'ambiance était au vert et maintenant elle redevient légèrement tendue*

A un moment je le vois tirer une drôle de tête, comme s'il essaye de reconnaitre quelque chose. Je lui demande ce qu'il se passe et il me réponds qu'il voit une ombre bouger au loin. Je me retourne et le l'ombre s'approche de plus en plus.

*Mais qu'est-ce que c'est?*

Après quelques secondes d'inquiétudes, l'homme apparait dans la lueur du feu encore allumé. Cet homme est couvert des pieds à la tête, seul ses yeux sont apparant.
Messou, n'étant pas habtiué à ce genre d'imprévu malgré son age avancé, perd son sang froid et demande à l'étranger de s'en aller.

-"Va-t-en, nous n'avons rien pour toi"

L'homme toujours a moitié visible, ne bouge pas d'un poil, il reste droit comme un "i".

Ne sachant pas trop quoi faire je demande à Messou de se calmer et de lui proposer un morceau de viande de serpent que l'on avait tué l'après-midi.

-Non! Rien pour lui! Rien! Va-t-en! lance Messou à la silhouette.

Vous proposez à l'homme un peu de viande et le visage de Messou se tord d'effroi:
-Non!!!! Ne t'occupes pas de ça, étranger, tu ne sais pas à qui...

Mais c'est déjà trop tard. Vous tendez de la nourriture vers l'ombre. Car vous vous rendez compte que c'est bien de cela qu'il s'agit. Une ombre, une âme n'ayant pu passer de l'autre côté du Styx, attrapé dans ce monde et rempli de haine.

Une des guenilles de l'ombre agit comme une tentacule et agrippe votre main. Sans que vous n'ayez le temps de réagir, vous voici déjà à l'intérieur de l'ombre, qui vous a avalé.

Vous vous retrouvez dans le noir le plus total.

Que faites vous?
-Vous criez à l'aide
-Vous restez immobile
-Vous tentez d'avancer au hasard
-Vous avez une meilleure idée

En 10 secondes je me suis retrouvé dans une situation plus que périeuse. D'abord Messou disparait, je me retrouve donc seul face à cette ombre. Je me penche pour ramasser un morceau de viande à proposer à cette créature mais en une fraction de seconde, je retrouve empoigné et emprisonné par cette ombre.
Je ne vois plus rien, c'est le noir total.

*Mais où suis-je?"

Je regarde si mon épée en bois est toujours là et je la prend. Ne voyant rien, je décide de donner des coups d'épée pour sentir si quelque chose se trouve devant moi. Après 3 coups donné, je sens une résistance sur mon côté gauche.

[Correctif: En fait, Messou n'a pas disparu: Vous étiez tout les 3 autour du feu. Vous avez proposé de la nourriture à l'ombre alors que Messou tentait def aire fuir l'ombre car il savait sûrement ce que c'etait. Vous avez été avalé par l'ombre]

Vous voici dans le noir total, vous tentez de frapper dans le vide lorsque vous sentez qu'il y a quelque chose sur votre côté....Vous palpez ce qui semble être une porte...Une porte???

Mais où êtes vous donc? Vous l'ouvrez et vous vous retrouvez dans un couloir sombre. Sur les côtés, des restes d'aventuriers, plus ou moins à l'état de squelette...

Au fond du couloir, une silhouette est immobile...

Que faites vous?
-Vous vous dirigez vers cette silhouette
-Vous préferez fouiller les cadavres
-Vous restez là où vous êtes.

En sentant une résistance sur un des mes côtés, je prends ma main et sent une poignée.

*Une porte?*

J'ouvre ce qui ressemble à une porte et derrière celle-ci je vois une nouvelle silouhette au fond d'un couloir. Je fais un pas en avant et cette porte se referme toute seule. J'essai de l'ouvrir à nouveau mais sans succès. Je n'ai qu'une chose à faire, c'est avancer. Je marche lentement dans ce couloir et j'aperçois sur les murs ce qui ressemble à des corps décomposé, mais il est très difficile de distinguer ce qu'il en est exactement vu le manque de lumière.
Après une série de pas, je vois tout à coup un lumière éclairer un cercle au sol sur mon trajet.

La lumière semble être le reflet d'une lame. Celle ci se trouve sur vos côté, mais hélas, sous une pile de squelettes plus ou moins décomposé. Vous voyez en effet une épée qui semble ouvragée à en juger par son pommeau, et le début de sa lame qui semble finement ciselée. Un travail perse, assurément, vu la courbure de la lame. Mais elle semble accrochée à son fourreau et sous des corps d'aventuriers morts depuis ce qu'il semble être des siècles.

L'ombre au fond du couloir semble maintenant s'avancer...vers vous!!!

Que faites vous?
-Vous tentez de fuire en défonçant encore la porte derrière vous
-Vous chargez l'ombre avec votre épée en bois
-Vous tentez de prendre l'épée perse sous les corps des morts
-Vous avez une meilleure idée

Cette étrange lumière m'intrigue, je cherche donc à savoir d'où elle provient. Je regarde les murs et à un moment je vois une très petite source de lumière qui se trouve entre deux corps. Je jette un oeil vers la sombre silouhette pour voir si elle bouge et je l'aperçois s'avancer vers moi.

*Elle bouge non?*

Petit à petit la créature se rapproche de moi.

*Avec mon épée en bois je n'irai pas bien loin si je devais m'en servir*

Je tourne de nouveau la tête vers le mur et je vois le manche d'un sabre qui se trouve dans le même axe que la source lumineuse.

*Je n'ai rien à perdre, faut que j'ai ce sabre si s'en est un*

Je commencer à gratter ces corps qui n'offrent aucunes résistance tellement ils sont décompés. De temps en temps je tourne la tête pour véririfer si l'ombre s'approche toujours. Quand la créature se retrouve à 5m de moi, j'arrive à libérer l'arme qui peut sauver ma vie.

[Correctif: c'est le maitre du jeu qui décide si tu arrives à prendre l'épée ou pas. Tu me dis ton intention,et moi, avec des jets de dés, je décide de la résolution, en l'occurence, tu as eu de la chance, tu as l'épée]

L'ombre se jette sur vous alors que vous avez juste eu le temps d'aggriper l'épée et vous empaler la chose sur la lame recourbée qui pousse un hurlement si strident que vous en perdez connaissance.

Lorsque vous reprenez connaissance, vous vous retrouvez à côté de Messou toujours auprès de votre feu de camps:
-Tu as réussi à revenir de l'emprise d'une ombre des sables! Incroyable mon ami! Personnne n'a jamais pu raconter ceci!

Vous regardez votre main pour voir si vous n'aviez pas rêvé, une brûlure enveloppe votre main, celle qui avait été agrippée par l'ombre. Dans votre autre main, vous avez un reste rouillée d'une épée recourbée...plus le lustre qu'elle avait, au point d'en être inutile..

Messou vous explique:
-Ce sont des âmes des baudoins païens qui sont punis par nos dieux et qui voient refusés le passage vers le monde des morts. Il ne faut jamais leur proposer l'hospitalité ou regarder leurs visages...mon ami, tu l'as échappé bel!

Vous reprenez votre route, et après quelques jours, vous arrivez à une oasis. Un poste avancé de marchand, d'échanges et d'informations. Messou en profite pour refaire le plein de provisions et nourir le dromadaire.

Le poste se présente comme quelques tentes près d'un petit point d'eau. Il y a des marchands, des animaux, des odeurs d'épices...

Que faites vous?
-Vous restez auprès de Messou, il semble connaitre les lieux
-Vous allez dans ce qui semble être une taverne pour vous nourir
-Vous partez à la recherche d'informations

Je me retrouve près du feu aux côtés de Messou. Un gros trou noir dans ma tête. Je me rappel juste d'une épée dans un mur, mais à part ça rien.
Messou me raconte que je viens de combattre une âme et que j'ai remporté le combat. Chose qui n'est jamais arrivée auparavant.
Je regarde mon bras et je vois une brûlure.

*Cette cicatrice me fait mal, il m'a bien eu en m'empoignant*

Dans l'autre main, un reste d'épée rouillé qui ne peut plus me servir. Je la jette sur le sable et la recouvre pour ne laisser aucune trace.

Je propose à mon vieil ami de reprendre la route et il accepte sans broncher.

Après quelques jours de marche, on voit au loin un oasis. Nous avançons et je vois un point d'eau.

-"Messou, je meurs de soiffe. Je vais boire et me rafraichir au point d'eau. Attend moi là ...

Non loin de cette source, des chevaux, des dromadaires se reposent.

*Je demanderais bien s'il ont pas un moyen autre que la marche pour que je puisse continuer ma route. Ils me doivent bien ça, je leur ai sauvé 2 mois de salaire en aidant Messou contre le garde au porte de la ville de Memphis*

Après m'être débarbouillé le visage, je fais demi tour pour rejoindre Messou. Il se trouve prêt d'une tente où la délicieuse odeur d'épices s'échape.

-"Mon ami, quel merveille cet endroit. Ce sont des produits rares que vous avez ici"

Il me regarde en me faisant un clin d'oeil puis continue la discussion avec un homme vêtu d'une djelaba bleu ciel.

*Serais-ce son chef? Bon j'ai perdu assez de temps, je vais leur demander s'il peuvent m'aider*

-"Excusez moi, mais j'ai encore une longue route donc pourriez vous m'indiquer le chemin de Thèbes? Et pourriez-vous me prêter l'un de vos chevaux ou dromadaire? Ce serait très gentil de vorte part, je vous en serais reconnaissant. Je pourrais même parler de vous à Rome pour ouvrir une nouvelle route de commerce ..."

Les 2 hommes rient de bon coeur suite à votre intervention. L'homme à la djellaba bleu vous lance:
-Tu as donc tellement de pouvoir à Romes que tu peux ouvrir des nouvelles routes de commerce! Ton ami, c'est un phénomène!
Messou intervient alors: Mon ami, je te présente Léonias, marchand de fruits grec. Il est très prospère dans le marché de l'olive..Il me disait que cela serait une mauvaise idée de partir maintenant, voire demain...il y a de mauvais présages, apparemment, une tempête de sable se lève à l'horizon. Nous devrions rester. Léonias a accepté de nous donner le gite avec sa caravane.

Voilà une mauvaise nouvelle qui risque de vous retarder encore plus...
Que faites vous?
-Vous faîtes contre mauvaise fortune bon coeur et vous vous résignez à passer la nuit dans l'oasis.
-Vous décidez de partir visiter le camp, pour avoir des informations
-Vous décidez que vous avez perdu trop de temps, et partez à la recherche d'un moyen de locomotion, quitte à le voler....

Après ma requête, les deux hommes se mettent à rire.

*J'ai dis quelque chose de drôle?*

C'est alors que Messou me présente son ami:

-"Mon ami, je te présente Léonias, marchand de fruits grec. Il est très prospère dans le marché de l'olive."
-Enchanté monsieur.
-Il me disait que cela serait une mauvaise idée
de partir maintenant, voire demain...il y a de mauvais présages,
apparemment, une tempête de sable se lève à l'horizon. Nous devrions
rester. Léonias a accepté de nous donner le gite avec sa caravane."

*Je ne peux pas, j'ai déjà trop de retard*

-"Messou, votre hospitalité me touche mais je me dois de refuser, je n'ai plus le temps. Je dois m'en aller."

Un peu à contre coeur, je décide de m'en aller. Je regarde la position du soleil pour me souvenir du chemin à prendre. Un fois le trajet trouvé, je me rend compte qu'il sont entrain de boire leur thé à la menthe et qu'aucun homme ne se trouve hors des tentes.

*C'est le moment pour prendre un dormadaire, c'est ma seule chance*

Je vais donc en direction d'un dromadaire au bord du point d'eau, et je détache la corde qui le retient.

Pour une fois, les dieux sont de vos côtés, puisque personne ne remarque que vous avez pris le dromadaire, que ce dernier était chargé de quelques vivres et qu'enfin la bête se laisse mener par un étranger. La roue tourne heureusement!

Vous voyagez quelques heures à ce rythme quand au loin, dérrière vous, vous voyez des personnes essayer de vous rattraper à dos de cheval. Ils ont du remarquer votre vol et voilà qu'ils en sont après vous!

Vous décidez d'accélerer la course de votre animal jusqu'au galop. Mais vos poursuivants reviennent sur vous, leurs pur-sangs arabes étant bien plus rapides...

Alors que tout semblait fini, vous les entender hurler! À l'horizon, devant, une tempête de sable arrive! Tout le ciel s'assombrit, au point de couvrir le soleil. Vos poursuivants font machine arrière, et vous?
-Vous êtes fou, mais pas téméraire, vous suivez vos poursuivants
-Vous n'avez pas le choix, vous foncez vers la tempête
-Vous avez une lumineuse idée?

Je suis sur la route pour accomplir ma mission et à un moment j'entends comme un énorme bruit de troupeau de chevaux sauvage. Devant moi je ne vois rien, alors je me retourne et je vois une dizaine d'homme à ma trousse.

*Zut, ils m'ont retrouvé*

Je décide d'aller au galop mais un dromadaire n'est pas aussi rapide qu'un cheval, c'est peine perdue. Je retourne à une vitesse de trot et j'entends crier:

-"À l'horizon, devant, une tempête de sable arrive"

Je les regarde et il retrousse chemin. Je me retourne de nouveau pour regarder devant moi et je vois le ciel qui s'assombrit. Une tempête de sable s'abbat sur nous. Je ne vois même plus le soleil.
Je regarde dans la sacoche attachée au dromadaire et je trouve un foulard.

*Parfait pour me couvrir les yeux. Je n'ai pas le choix, je dois continuer ma route, s'ils ont essayé de rattraper ce n'est pas pour m'accueillir à bras ouvert. Dès que la tempête sera finie, il me suivront à nouveau*

Je prends donc ce foulard et le met sur ma tête. Je bois aussi quelques gorgées d'eau qu'il reste dans la gourde car je ne sais combien de temps cela va durer.
Je fonce donc avec mon dromadaire vers ce nuage de sable.

La tempête vous enveloppe totalement. Vous n'y voyez plus rien. Le noir est presque total, les grains de sable pénètrent dans votre peau, vos narines, vos yeux.
Le dromadaire a de plus en plus de mal à avancer jusqu'après un râle fatal, l'animal tombe au sol, mort. Votre fin approche-t-elle?
Que faites vous?
-Vous restez avec votre dromadaire, il pourrait vous servir d'abris
-Vous allez vous retrouvez enterré vivant si vous restez là, autant chercher un endroit plus protecteur