L'arme Sacrée [Drakan Livïos]

Le coup fut violent et nette, l'homme tomba aussitôt au sol...
Il suffoquait, son souffle lourd et haletant le démontrait alors que sa voix tremblait... On se retrouvera ? Des menaces ? Qu'importe, il sera mort dans quelques secondes...

Soudain, un bruit creu raisonna...

*Qu'est-ce que c'est que ce foutue bordel ?*

Rapidement je senti un liquide sur ma tête...
Ma main se porta sur mon crane

*Ah du sang ?*

C'est ma tête qui a sonné creuse ? A vrai dire, je n'ai rien senti, mais déja j'entendais cette créature aboniable et lache s'enfuir, ses pas s'entendait dans l'eau... Ni une, ni deux, je fit rapidement volte face...

"Sale lache ! On attaque pas par dérrière un Spartiate sans en subir les conséquences !

Je reprit fermement mon glaive et courue aprés ces bruits frappant l'air de mes mains, quand soudain un nouveau bruit sourd raisonna... L'ais-je toucher ?

Vous vous occupez plus du petit vieux , puisqu'il a finalement succombé au blessure , de votre coup ...
Mais vous allez vous occuper de cette créature , qui profite du noir pour vous attaquer , son coup n'a fait qu'une petit blessure sur votre crane rien de méchant ...

La créature ne sait pas enfuis , loin de la , vous vous lancez a sa recherche , vous frappez partout dans le noir dans l'espoir de la toucher , vous frappez sur le mur parfois sans vous en rendre compte , lorsque un bruit diffèrent des autres apparaît , vous l'avez eu , impossible de le dire . Attendez peut être que si , on entends suffoquer par terre , oui c'est elle est légèrement blessé mais sonné , profitez en c'est l'occasion rêvez .

Que faites vous ?

Ou bien vous l'attaquez afin de l'achevez , et vous serez tranquille .

Ou bien vous refusez de perdre plus de temps , et vous sortez du tunnel , il reste quelque mètre à faire , malgré le noir la sortie est la , les courants d'air chaud n'ai autre que le vent de l'extérieur ...

Alors ?

Ignoble créature, je palpais de ma main et senti qu'il s'agissait bien de la Gorgone...

"Par les dieux que ta vie cesse"

Je frappa à nouveau plusieurs grands coups en direction de ce qui semblait être sa tête sans lui laisser le temps de respirer... Un dernier bruit de craquement se fit entendre...

"Que ton ame rejoigne ton maitre dans les Enfers !"

Une fois fais, je retourna vers la dépouille du vieu, à sa ceinture semblait accrocher une légere besace, je l'as prit sans hésité, je regarderais une fois à l'extérieur si elle contient quelques chose, mais pour l'heure, je me dirige vers la sortie.... Le gout du sang, la saveur, l'intensité du combat, quel doux parfum, j'adore ces moments là... Filant vers la sortie, je laissais mon glaive se néttoyait dans l'eau en le laissant trainer sur le sol, alors que plus aucun bruit, mise à part mes pas semblait raisonné dans ce tunnel... L'air chaud commençait à arriver, la sortie est juste devant !
La lumière de l'extérieur se déssine, cette lumière pénétrante et intense...

Vous voulez être sur que c'était elle , une fois sur vous l'achevez avec beaucoup de sang froid , les murs s'en rappelleront ...
Vous vous dirigez désormais vers la sortie de ce tunnel de la mort , vous rentrez déjà dans la légende , vous êtes le premiers a en sortir vivant , et dieu sait que bon nombres de soldats sont morts ici ...

En vous dirigeant vers la sortie , vous récupérez la besace du vieil homme , ce n'est pas idiot , peut être vous servira t'elle pour l'avenir . Vous vous rapprochez de plus en plus de la sortie , la chaleur de l'extérieur se frotte a votre corps souillé de particule grasse .

Ça y'est !!! Vous êtes dehors , vous avez réussis cette partie , maintenant le désert , d'abord vous ouvrez la Besace du vieil homme , bien joué 50 statère , est un clefs ??? A quoi peut servir cette clef , en tout cas ne la perdez pas elle pourrait être capital .

Vous voila face a un immense terrain de sable , je suis dans l'incapacité de vous guider , mais on dit que la direction du vent , mené au premier village ...Ou bien a votre simple initiative , parcourez des mètres au hasard .

Que faites vous ?

Je sorti enfin de ce guépier... Au milieu de nul part, ce tunnel ne me semblait pas si immense, mais dans ce noir, seul les dieux connaissent la distance que mes pieds ont parcourus... Me voilà ici, au milieu de cette immense étendue de sable, que faire ?

Cette besace se revele etre un véritable cadeau des dieux et ma pensée se tourne vers mon seigneur Poséidon qui m'as sans doute gracieusement offert se présent pour m'etre débarassé de cette créature abominable qui térorisait la sortie de Sparte...

Me voilà dans ce grand désert, sale, un bon bain me ferait du bien, mais ici que faire ? Suivre les vents ? Ca me parait être une bonne idée, je remet mon glaive dans mon fourreaux range les divers objets trouvés sur le vieil homme dont cette clef mystérieuse et file dans la direction du vent...
Espérant y trouver un village, ou ce fameuse endroit ou trone cette arme

Vous voila donc dans le désert , seul face a votre destin , ce désert est un des plus dangereux du monde , soyez prudent , c'est tout ce que l'on vous demande , se perdre ici serait un échec total est en plus la mort assuré .

Vous décidez de suivre le vent , c'est une bonne option , seulement le vent ce n'est pas une boussole ça n'indique pas tous le temps le même endroit . Seul les dieux savent ou vous allez .

On aperçoit au loin des silhouette , déjà ?, c'est étonnant aussi près d'un endroit si sinistre , on dirait qu'il y'a des habitations ...

Vous pourriez y'aller pour voir ce que c'est , seulement c'est peut être une simple hallucination , mais peut être pas non plus .

Ou continuez a suivre le vent , mais celui ci a tombé de la nuit soufflera dans le sens inverse , vous avez perdus beaucoup de temps dans le tunnel .

Je continais de marcher, mes jambes se faisaient de plus en plus lourdes, alors que mes forces m'abandonnaient peu à peu, j'avais besoin de dormir, mais ou ? m'allonger sur le sol serait synonime de mort assurée ! Si je me prends dans une tempete de sable ou si une troupe de nomade me trouve, il me fallait autre chose...

Au loin, des silhouettes dansaient dans la nuit qui commençait à tomber, que faire ? Les rejoindre ? Mais serait-ce des brigands ? Qu'importe, je pourrais toujours moneyer leur service, il me faut rapidement trouver l'endroit ou se trouve cet arme et vite !

Ni une ni deux, je suit ce chemin et me fixe vers ces silhouettes, elles sont à une bonne vingtaine de minutes de marche, en esperant qu'elle ne s'en aille pas, sinon j'accélérerais le pas, mais il faut que je les trouvent et que je leur parle avantl a tombée de la nuit, il en va de ma survit...

*Que les dieux soient avec moi !*

Vous continuez à avancer vers ses ombres, qui peut passe du status de silhouette à celles de personnes. Un peu plus loin dérrière elles, vous voyez une habitation à flanc de dune. Une tente, un petit enclos avec quelques chêvres...des paysans?

Quoiqu'il en soit, vous vous approchez et vous voyez des enfants jouer dans le sable...Et vous sombrez dans l'inconscience, la chaleur, l'épuisement trouvant son paroxysme.

Vous rêvez de tunnels ténébreux par dela un désert rouge sang. Une ombre géante qui rit de vous. Elle est entouré de 10 autres ombres. Elles vous entourent et sortent leurs armes...

Lorsque vous vous réveillez, vous êtes sur une paillasse misérable. Tout autour de vous, vous voyez des murs en toile crasseuse...Une poule maigre qui picore tout ce qui pourrait constituer de la nourriture. Un jeune enfant qui vous regarde et qui hurle à votre réveil:
-Maman! Maman, le monsieur il s'est réveillé!!!!

Une femme vêtu pauvrement, s'approche de vous, un bol d'eau à la main:
-Étranger, tu as repris conscience. Ne t'inquiètes pas, nous allons nous occuper de toi, mon mari et moi. Je me nomme Aléna. Mes enfants t'ont trouvé errant dans le désert...

Vous reprenez peu à peu vos esprits. La femme qui vous parle est, malgré ses vêtements pauvres et sales, magnifique: des longs cheveux noirs comme le corbeau, bouclée, et de grands yeux de la même couleur. Une vision enchanteresse qui vous empêche de dire le moindre mot. Elle reprend:
-Repose-toi. Mon mari est parti chercher de la nourriture pour ce soir. Quel est ton nom, étranger?

Que faites vous?
-Vous expliquez votre mission, peut être sait-elle quelque chose sur les brigands
-Vous lui demandez comment passer le désert sans trop d'encombre
-Vous l'embrassez tant elle est belle, au diable son mari
-Vous lui racontez des mensonges, elle n'a pas à savoir qui vous êtes
-Vous avez une meilleure idée?

Mes yeux s'ouvrit sur une vision inattendue, un enfant ! Répugnante projeniture de l'homme, dire qu'on se doit de protéger ce genre d'être pour être un héros... Pfff, je me redresse légerement, mais me rallonge aussitôt, une sublime femme s'approche alors de moi, prenant soin de me laver le front et m'apporter à boire... Douce vision enchantresse que cet ange venu à mon secours, elle me parla brievement de son mari... Pourvu qu'il soit mort pensais-je quelques instants, puis je regardais son enfant qui me regardait avec des yeux plus gros que les mamelons de sa maternelle...

Je soupirais légerement, tout en réfléchissant à ma réponse... Dire la vérité ? Et si c'est un village de pillard, que faire ? Mentir et esperer être aider, hmm pourquoi pas... Quoiqu'il en soit, mon regard se plongea dans celui de la jeune femme, et d'une voix grave et faible je répondit ses quelques mots

"Je m'appel Drakan... Je suis à la recherche d'un artefact..."

Je n'en dis pas plus, et je regardais la jeune femme, elle m'as peut-être sauvé la vie...

-Drakan dit-elle d'une voix douce et tremblotante. Sur votre main, vous sentez des gouttes d'eau de la serviette qui vous est destiné qu'elle tient dans les mains.

Un hénissement de cheval vous sort de votre torpeur et Aléna se dirige vers la sortie, pensant sans doute que son mari revenait de la chasse. Puis un cri perçant, plein de tristesse et de desespoir se fait entendre. C'est Aléna.

La curiosité est plus forte, et vous jetez un oeil par une fenêtre près de vous. Vous voyez Aléna sur ses genous en sanglots, tenant quelque chose entre les bras. Devant elle, un homme sur un destrier. Son allure est pour le moins étrange.

Il ressemble à un pirate de par son visage et les bandeaux sur son oeil et ses cheveux. Il rappelle les perses de par son teint de peau et ses pantalons bouffant typique des armées de Persepolis. Il rappelle les armées romaines de par les élements d'armure qu'il porte. Finalement, il ressemble à un patchwork de brigand.
-Ton mari n'avait qu'à nous écouter. Il n'a pas voulu se plier à notre loi, voilà ce qui arrive. Et le brigand jette au sol un corps nu et couvert de sang sur le sol.

Et vous réaliser qu'Aléna tient entre ses mains la tête décapitée de son mari. Elle a du sang sur ses vêtements, ses cheveux, son visage, ses larmes.
-Ta propriété nous appartient, toi même, tu appartiens à la bandes des 10 démons du désert.

Que faites vous?
-Vous ne bougez pas, vous attendez que le brigand s'en aille, vous n'avez pas la force de combattre
-Vous sortez et tenter d'intimider le brigand
-Vous cherchez dans la maison un moyen qui pourrait vous aider à combattre le brigand
-Vous avez une autre idée?

J'observe avec curiosité la scene abominable qui se déroule sous mes yeux, je ne suis qu'un mercenaire de Poséïdon, un soldat de Sparte, mais ma pitié est grande... Et en voyant ça, je regarde autour de moi et prends mon glaive ? J'espere le trouver, dûe moins je trouve un chandelier, parfait pour frapper un énnemi et sort malgrés ma douleur, malgrés la fatigue et regarde ce pirate... La jeune femme semble éfondrer, incapable de répondre quoi que ce soit...

"Vaurien ! Déguerpis avant que je me mette en colère..."

Mon regard se posa sur cet homme, et avec cette arme de fortune à la main, je ne sais pas si je pourrais le combatre, mais au moins j'éssaerais de sauver cette femme et son enfant, je ne peux me résigné à abandonné devant un pirate, peut importe le coup de celà, même si ma vie doit en être le prix...

"Si tu dois t'attaquer à un adversaire, viens je t'attends.. Et laisse cette femme et sa famille tranquille !"

J'arqua légerement mes jambes pour me mettre sur mes appuis, prêt à combattre ce bandit ...

Le bandit sembla être étonné de vous voir, puis se mit à rire. Un rire gras:
-Mais que comptes tu faire contre moi avec ce chandelier, misérable moucheron? Tu tiens à peine sur tes pattes, et tu voudrais te battre contre moi? Un membre de la bande des 10? La bande la plus redouté du monde civilisée? Les barbares eux même tremblent devant notre cruauté...Parce que tu m'as bien fait rire, je te laisse la vie sauve...Mais femme-il s'adressait maintenant à Aléna toujours en pleurs-je reviendrais demain récupérer mon bien. Entèrres ton mari et profites de ta dernière nuit de liberté, car demain, tu ne seras plus une femme, mais une chose...Ton enfant pourrait même avoir un traitement de faveur...notre chef les aime jeune et pur...Et toi l'estropié, si tu veux vivre, tu as intérêt à déguerpir des lieux...je n'aurais pas la même bonté demain...

Le brigand s'éloigne lentement sur son cheval, plein de confiance des lieux...

Que faites vous?
-Vous escortez Aléna à l'intérieur de la maison
-Vous faisez fi de votre condition et attaquez le brigand par dérrière
-Vous prenez vos affaires et vous décidez de quitter les lieux, vous n'avez pas à vous mêler d'un conflit qui n'est pas le votre.
-Une autre idée?

Je regardais le brigant au loin... Ma fatigue m'empeche de me mesurer à lui dans l'instant, demain sera un autre jour...
L'armée des 10 ? C'est quoi ça ? Il ne sait pas qu'il a affaire à un Spartiate lui ! Pfff

Mon regard se posa sur la jeune femme qui semblait completement déboussolé, faible... Je m'approche d'elle et lui pose la main sur l'épaule, un geste de compassion de tendresse, completement incompréhensible pour moi... Mais je ne sais pas ce qui m'as pris à faire ça... Mon regard se pose alors sur le corps...

"Demain sera un nouveau jour... Demain je serais en forme, prêt à les recevoir, rentre et remet toi de ce choc, je vais enteret cet homme meurt pour l'honneur..."

J'aida la jeune femme à se relever et partit prendre une pelle quelques metres dérriere, je rejoint le jardin et creuse un trou pendant des heures et des heures... Dans le but d'entérer son mari, je devrais trouver un plan pour recevoir lui, et peut-etre les neufs autres le lendemain pour ne pas laisser cette femme et son gosse remit à ses perfides brigants !

-Merci étranger, mais tu n'as pas besoin de faire cela...Ce n'est pas ton combat...Je suis désolé de t'avoir mêlé à tout ceci...

Puis Aléna se mit à raconter ce qui s'était passé depuis quelques années: Un terrible personnage venu d'on ne sait où, mais des rumeurs parlant d'un barbare de l'est est venu dans la vallée de l'Eurotas et a commencé à recruter les plus terribles brigands du coin. Ils ont mis à feu et à sang la vallée. Pillage, meurtres, vol, destructions de temple, viols, rien ne se mettaient en travers de leur route. Ils se font fait connaitre par la bande des 10 démons.

Puis, ses 10 lieutenants ont commencé à élargir le périmètre de leur méfait. L'un d'eux, Melchias, celui que tu as vu, à déclaré que tout ceux qui vivait dans ce desert devait répondre de lui car cela était devenu sa propriété. Mon mari n'a pas voulu se soumettre à son joug et...

Elle se mis à pleurer, encore couverte de sang sêché. Elle reprit:
-Ils vous nous tuer, tous nous tuer, ou pire encore...

Que faites vous?
-Vous voulez prendre la défense de cette femme et vous vous préparez à recevoir ce brigand
-Trop dangereux, mieux vaut prendre la tangeante
-Si vous avez une chance de mourir, autant avoirun moment de plaisir avant, vous prenez cette femme pour la nuit, de force s'il le faut, vous aviserez au matin
-Une autre option?

Elle continait à me parler alors que je préparait une tombe pour son défunt mari, elle parlait de brigands, des pires, je ne pouvait la laisser là, je la laissais me raconter toute l'histoire, alors que le trou semblait désormais assez profond et assez large... Je prit le corps du défunt et le jeta dans la fosse, y joignant la tête délicatement avant de poser mon regard sur la jeune femme éfondré et recouvrir le tou de terre... Puis je regarde la jeune femme et la dévisage légerement.

"Demain, préparez-vous, je vais devoir préparez des pièges cette nuit pour les recevoir, mais dés demain soir, il en sera finit de ce dénommé Melchias, il sillonera les Enfers en regrettant de vous avoir fait du mal"

J'en devenais presque humain dans cette histoire, mais bon, parfois il faut savoir faire des conssésions, puis me mesurer à un homme soidisant robuste et fort en arme, ça pourrait être intéréssant, j'observais le décor,tentant d'imaginer des pièges pour les recevoirs...

Aléna tenta de vous dissuader, de vous dire que votre plan était voué à l'échec car on ne s'attaque pas à un demon comme cela...Mais au fond d'elle, elle désirait que vous vengiez son mari. Elle allait donc vous aider...Qu'aviez vous à votre disposition?
-Lames et outils en tout genre
-Enclos avec quelques vaches, chevaux et poulets
-Bois, buissons...
-La ferme se trouve dans une espèce de cuve, entre 2 dunes de grandes tailles
-La maison est en toile, elle comprend une grande pièce commune, mais aussi, sous un tapis, une sorte de cave creusée dans la terre, elle peut contenir 3 personnes plus quelques poules.

Vous contemplez votre inventaire et des idées de pièges germent dans votre tête...trous? pieux? cachette en tout genre? armes? Quoiqu'il en soit, vous devez vous y atteler maintenant.
Quel genre de pièges allez vous faire?

Je tentais d'imaginer les pieges possibles, au fur et à mesure qu'on regardait autour de nous je lui dévoile ces quelques mots...

"Vous vous cacherez sous le tapis dans cette cave"

On continuait à découvrir les lieux... L'enclot ne me serais d'aucune aide... Puis avec cette pele, et ces pieux, je pourrais facielemnt crée une trappe devant la maison, je me m'y aussitot au travail, creusant rapidement un trou d'une profondeur de 5-6 pieds, avant d'y enfoncer quelques pieux et batons de ferailles aiguisés pour l'occasion...

*Ca devrait faire l'affaire !*

Puis j'imaginais d'autre piege... que faire ? Plusieurs idées germaient, mais réalisable ? Je me faufile vers l'enclot et observe les animeaux, en les manipulant bien ils pourraient charger les énnemis et le déstabiliser pendant que je l'attaquerais sur une de ces montures... Ca peut être l'attaque de base... Ensuite je pourrais facilement prendre une besace emplit de petites lames pour lui lancer aux visages dans le but de le déséqbuiliré... Je dois pauffiner certaines idées, mais déja, si je lui fais le coup de l'enclot, le teste au combat, puis l'emmene dans la trape avant de lui tirer dessus tel une cible, j'aurais de quoi le metre en trés mauvaise posture...

Vous travaillez toute la nuit à creuser, à aiguiser, à tailler...Au petit matin, vous prenez un petit déjeuner auprès D'Aléna et de sa fille, Erythree. En soirée, vous avez donné des offrandes aux dieux en priant pour votre succès.

Ensuite, lorsque vous estimez que le moment est choisi, vous leur ordonner de se cacher dans la trappe et d'y rester..Surtout de ne pas y sortir sous aucuns pretexte.
-Faites attention Drakan...Que les dieux soient avec vous.

La famille en sécurité, vous voilà seul désormais.
Qu'allez vous faire maintenant?
-Une bonne blague, vous quittez les lieux le plus vite possible
-Vous vous tenez devant la porte de la maison, en attendant Melchias
-Vous allez vous cacher aux alentours en épiant l'arrivée du brigand
-Une autre idée?

J'observe la jeune femme et son enfant et lui glisse un léger sourir

"A dans quelques minutes"

Puis les caches sous le tapis dans la grande salle, je rejoint ensuite l'enclot me cachant entre les bêtes prêt à casser la barrière et à laisser les animeaux foncer sur l'ennemi quand celui-ci va venir, mon souffle en deviens cours, mes dernieres minutes ? Je ne pense pas, j'ai préparer ce plan judicieusement, et je suis un Spartiate... Je pense une dernière fois au seigneur Poséïdon, qu'il m'aide dans ce combat...

Quand il sera là je briserais la barrière, les animeaux rueront vers lui et moi je montrerais rapidement sur un cheval et lui foncerais dessus pour voir sa résistance à mon glaive et si il peut ou non être éliminé facilement, il en va de ma vie ! et de ma gloire...

Le voilà qui arrive, je prends fermement mon épée, prêt à attendre qu'il soit juste quelques metres devant moi pour lacher les bêtes, je chuchote alors rapidement ses quelques mots

"Que les dieux soient avec moi ..."

Vous vous êtes caché dans l'enclos, parmi les bêtes...Vous voyez une silhouette à cheval arriver dans votre direction assez lentement...Le gredin ne s'imagine pas une seconde que quelqu'un serait assez fou pour l'attaquer...

Vous allez lacher les bêtes sur lui pour créer une confusion et une surprise...Vous comptez les bêtes: 2 chevaux, 2 vaches, 3 chêvres...Qui ont toutes l'air amorphe...Est-ce la chaleur? la malnutrition? la peur? ou votre chance légendaire qui les met dans cet état de torpeur?

En tout cas, une chose est sûre, si vous ouvrez la barrière maintenant, les animaux ne vont pas bouger d'un pouce mettant à mal votre plan...

Qu'allez vous faire?
-Leur crier dessus pour leur faire peur
-Leur tapez dessus pour les faire avancer
-User une lame pour leur planter sur leur posterieur
-Les pousser ou tirer de force hors de l'enclos
-Changer de stratégie assez vite

Maudits bêtes ! Par Poséïdon que les dieux viennent à mon aide ! Ces maudites bestioles ne voulaient pas se bouger ! Il me faut un coup de pouce et ce monstre qui arrive, il n'est plus qu'à quelques metres, je frappe dans l'arrière train de ces bêtes esperant que ça suffirait, j'enfourche alors immédiatement un cheval et dégaine mon glaive prêt à frapper...

Le jour était levé depuis peu, l'aurée de l'aurore parcourait encore le ciel alors qu'une légere fraicheur parcourait les cieux... Il me fallait vaincre ce démon, par tout les moyens, pour cette femme, ce gosse, pour mon honneur, ma gloire...

Je devais accomplir cette mission qui métait imposé par les dieux, un Spartiate ne fuit jamais, il meurt en héros, esperons que je ne meurt pas aujourd'hui, et si tel était le cas, alors je serais mort pour défendre un honneur, une famille... Et que les dieux ne me voulaient point comme champion... Esperans que mon coup allait marcher, je regardais l'homme fixement dans les yeux espérant que les dieux lanceraient ces bêtes...

Vous êtes tellement sous l'emprise de la colère que vous frappez violement une vache. Vous la frappez tellement fort que vous entendez un craquement d'os qui fait hurler la bête de douleur. Ce cri a cependant l'effet escompté: toutes les bêtes deviennent terrorisées et se ruent vers la sortie de l'enclos.

Un petit troupeau, mais tout de même, cela pourrait avoir son effet. Vous sautez sur un cheval, mais vous restez aggripé sur son côté pour rester caché le plus longtemps possible. Le troupeau est apeuré et se ruent devant mais votre ennemi n'est pas sur leur trajectoire, mais plutôt devant lui. Cela aurait pu être pire.

Vous êtes presque au niveau du brigand, que faites vous?
-vous tenter de ruer votre monture sur le brigand
-vous vous montrez enfin et frappez le brigand
-vous restez caché et vous vous enfuyez, tant pis
-vous restez encore caché pour trouver une autre opportunité

"Maudites bêtes !"
Alors que nous passions juste devant la brigand, je prends mon courage entre mes mains et d'une impulsion du pied saute sur l'ennemi esperant le prendre par surprise, je déploie ma main vers le haut frappant un grand coup devant vous, esperant l'empoigner sur mon arme en me ruant sur lui... Je le regardais dans les yeux disctinctement, il ne s'attendait pas à me voir, mais réussirais-je à le toucher ?

Je ne pensais même plus à ma mission, à vrai dire quelle étais-ce ? A ce moment là, je ne pensais qu'à cette famille, qu'à ce démon du désert, un Spartiate ne refuse jamais un combat, surtout quand son opposant ce bat pour la liberté...

Mon coup allait bientot arrivé à hauteur de mon adversaire, je gardais les yeux ouverts fixés sur lui, j'esperais au moins le faire tombé de son destriyer, avec chance je pourrais même le tuer...

Vous vous jetez sur le bandit et vous le prenez par surprise, il ne s'attendait vraiment pas à cela. Sous l'impact, il tombe de sa monture, vous entrainant avec lui vers le sol.

Vous vous empoignez furieusement l'un et l'autre et rouler sur le sol. Il semble prendre l'avantage en étant au dessus de vous. Il est beaucoup plus fort que vous. Au corps à corps rapporché, vous n'avez clairement aucune chance. Il prend une dague de sa botte mais vous le repoussez avec vos jambes au loin.

Vous voilà tout les 2 sur vos jambes. Lui a une dague d'assassin perse, vous des pieux aiguisés et un couteau à viande. Dérrière vous, le piège que vous avez confectionné, une trappe couverte de pieux sous une paillasse...

Melchias vous harangue:
-Es-tu fou? Tu oses t'en prendre à un démon? Je vais te le faire payer, je vais te dépeçer de ta peau vivant et je te la ferais manger! Prépares toi à connaitre un univers de douleur dont tu n'avais aucune idée!

Il vous hurle avec la bave aux lèvres, les yeux injectés de sang. Vous avez au moins réussi à le mettre hors de lui...

Qu'allez vous faire?
-Vous l'attaquez directement avec vos armes à la main
-Vous ne voulez pas avoir la trappe dérrière vous, et vous tentez une diversion pour changer de position
-Vous courez à l'intérieur de la maison en prenant soin de sauter par dessus la trappe
-Vous continuez à l'enerver encore plus pour lui faire perdre ses moyens en l'insultant
-Vous avez une autre idée?

Mon coup avait réussis, le voilà sans son destrier, faible, à main nue... Le faire rentrer maintenant serait abhérénce, il ne pourrait en aucun cas ne pas voir que je saute par dessus le piège, il me fallait ruser... Mon regard se posa sur l'arbre désséché juste dérriere lui... Un léger sourir parcouru mon visage alors qu'il me menaça...

"Un démon ?"

Je fit semblant de pouffer de rire, comme pour le narguer, l'enerver, lui faire perdre ses moyens et le déstabilisé, esperons que ça marche contre lui

"Pour un démon si féroce, il est rare de ne jamais avoir entendu ton nom, ni même ton soidisant clan de l'autre coté des mers..."

Je me mis de mannière parfaite sur mes appuis, prêt à rester sur mes pieds si il me chargeait, tout comme prêt à attaquer si il montrait une faillle

"En tout cas, à Sparte on n'as pas peur de démons..."

Je lui lança alors un petit couteau avec la quasi-certitude qu'il ne le toucherait pas, mais sait-on jamais...

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